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Le temps qui passe! |
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Cet été, j'ai fait deux rencontres qui m'ont appris
plusieurs choses importantes.
La première a été le don de soi envers tout ceux qui souffrent
et qui n'ont personne pour les prendre en main.
La seconde, encore plus importante, a été,
de LAISSER ALLER, les choses que je ne peux pas changer.
Plus nous vieillissons et plus on se rend compte de biens des choses,
du moins certaines personnes le font.
On a le choix de changer et de s'améliorer, de cesser de prendre sur nos
épaules,
tous les problèmes des autres, et nous faire plaisir à nous plus souvent.
Car lorsque l'on ne fait que penser à comment régler les problèmes que les
autres ont,
nous nous oublions et plus le temps passe, plus notre dos devient voûté,
plus on a de la difficulté à avancer, plus on a peur aussi de faire de nouvelles
choses.
De plus cela affecte notre santé de manière significative, nous devenons plus
renfermée,
car on ne cesse de penser aux bobos des autres.
Mais nous dans tout cela, me direz vous, ce n'est pas d'avoir moins de coeur,
que de se faire plaisir plus souvent.
Au contraire, en nous rendant la vie plus facile, envers nous mêmes, nous serons
à même de choisir les vrais causes que l'on veut bien aider.
Je ne peux pas changer le monde, ni vous d'ailleurs,
mais si chacun d'entres nous, prenaient plus de temps, pour se regarder une
seule
fois dans la glace, et se dire aujourd'hui qu'est ce que je peux faire pour
aider, sois mon environnement, sois mon moi personnellement, et bien le monde se
porterait peut être mieux.
Redonnez vous le temps, de vous regarder, de vous remettre en question,
de choisir, oui choisir, ce que vous aimez vraiment et ce que vous détestez
souverainement.
A partir de là, débutez un changement, éliminez peu à peu,
ce que vous détestez royalement, et offrez vous plus souvent ce que vous aimez à
la folie.
Peu à peu, vous verrez la différence, en vous tout d'abord, et ensuite autour de
vous.
Et croyez moi, vous deviendrez peu à peu de plus en plus heureux.
Plume!
2011 |
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