Un fait vécu de ma
vie.
Le 31 décembre 1958,
soit un an après la
naissance de mon
fils.
Toute la famille
était réunie chez
mes parents, pour le
souper du nouvel an,
Car le premier
janvier, maman et
papa allait à
Joliette chez grand
papa pour la
bénédiction.
Alors, après le
souper j’étais
debout avec mon
épouse au côté du
sapin avec mon fils
dans mes bras. Un de
mes frère s’approche
avec son épouse et
me dis,
Comment ta fait pour
avoir un monstre
comme çà? Alors de
lui répondre,
Toi tes marié depuis
huit ans, tu n’as
pas encore d’enfant
parce que tu as peur
Qu’il soit fait à
ton image et, tu
parles toujours sans
réfléchir.
Son épouse lui dit
en pleurant, maudit
que tes bêtes, mon
épouse pleurait
aussi.
Quelques semaines
plus tard, lui et
son épouse partaient
pour travailler en
Floride.
Pour un entrepreneur
en construction qui
bâtissait des
hôtels, des chalets,
des maisons etc,
etc.
Deux ans plus tard,
je su qu’il s’était
séparer et que son
épouse était
retourné
Dans sa famille à
Québec. J’ai revu
mon frère 33 ans
plus tard.
Voilà, je te raconte
pourquoi?
En avril 1991, mon
épouse, mon fils et
moi somment allez
demeurer à st-
Faustin.
En octobre j’ai fait
un infarctus, je
suis sortie de
l’Hôpital de Ste
Agate le vendredi
25 octobre 91. Le
lendemain après-midi
vers 14 heures, une
camionnette
stationne
Au côté de mon auto,
par la fenêtre je
vois un homme et une
femme que je ne
connais pas, Je dis
à ma chérie ce doit
être quelqu’un qui
veut des
renseignements.
Lui il a une grosse
barbe grise et elle
les cheveux blanc.
Il sonne à ma porte,
je vais ouvrir il me
dit, bonjour Robert
comment vas-tu?
Tu ne me reconnais
pas? Ses-moi ton
frère, notre petite
sœur ma dis que tu
étais
À l’Hôpital, alors
j’y suis allez et on
ma donner ton
adresse, je te
présente ma
compagne.
J’étais tellement
surpris que je ne
savais plus quoi
dire, ma chérie
s’est approcher
Et leur dis entrée
venez-vous asseoir.
On a jasé puis on
les a inviter à
souper, ils
semblaient être très
heureux de ces
retrouvailles.
Toute les deux à
trois semaines ils
nous rendaient
visite et soupaient
avec-nous.
En mai 92 je reviens
demeurer à Montréal,
il est venu m’aider
à déménager.
Pendant 6 ans, toute
les deux à trois
semaine il venait
avec sa compagne
souper avec nous,
soit le samedi où le
dimanche.
Puis le samedi 13
décembre 97, pendant
le souper
Il me dit, sait-tu
que tes un maudit
bon gars? Ça fait 6
ans que l’on vient
manger chez-toi, tu
nous reçois comme
des rois, tes
toujours de bon
humeur, tu ris
toujours et tu
Raconte des
histoires pour nous
faire rire. Alors de
lui répondre ses pas
ma faute je suis né
comme çà. Pourtant
dit-il j’ai fait une
grosse bêtise à ton
égard, te
souviens-tu?
Mais oui je me
souviens regarde, il
est là mon monstre,
il te fait écouter
de la musique
Est-ce si
monstrueux?
Il me regardait les
yeux plein d’eaux et
me dis, me
pardonne-tu cette
bêtise que je tes
faite. Alors je lui
dis, je n’aie rien à
te pardonner, les
gens comme toi qui
parles toujours sans
réfléchir ne sont
pas responsable de
ce qu’ils disent.
Il se leva, me pris
dans ses bras en me
disant, j’pensais
jamais que j’avais
un petit
Frère comme toi,
j’te demande pardon
quand même.
J’pensais jamais
qu’un jour
J’pourrais me
débarrasser de ce
fardeau que je porte
sur mes épaule
depuis si longtemps,
merci, merci.
Je lui dis, oublie
çà, et fait comme
s’il ne c’était rien
passer.
Le lendemain 14
décembre, vers 10
heures je reçois un
appel,
C’était sa compagne
elle pleurait et me
dis,
Robert ton frère est
mort cette nuit, il
a fait une embolie
pulmonaire.
Sa fait déjà un bon
moment qu’il est
malade et, je crois
Qu’il voulait ton
pardon avant de
mourir.
Et voilà, que
veux-tu dire de
plus?
J’ai écrit ce récit
à l’encre de mes
yeux,
Car quand j’y pense
je pleure encore.
Robert Pelletier.
21/01/2014
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