Les feuilles dans les arbres tourbillonnent.
Les dernières fleurs de l’été frissonnent
Et, les jours moins longs sont monotones.
Mais il faut accepter les saisons que l’on nous donne.
Les matins de froidure humide me rende triste,
Car en moi, s’éveille les douleurs de mes rhumatismes.
Présage de l’hiver qui arrive à grand pas.
À mon âge, je pourrais me passer de tous ces tracas.
Bientôt, demain, renaitra le printemps.
J’aurais alors quatre-vingt-quatre ans.
J’espère bien, qu’il me reste encore assez de temps.
Pour revoir les oiseaux et, entendre leurs chants.
Partager sur facebook |