Dans deux jours
l’été nous auras
quitté.
Bien sûr, cette
année elle a
beaucoup pleuré
Car elle voulait que
soit plus belle les
fleurs.
ET là! Lentement
elle agonise en
versant encore
quelques pleurs.
Pour que la dernière
rose de l’été, trop
vite ne meurt.
Car déjà lentement
de froid elle
frissonne,
Lentement le vent,
la dépouille de ses
pétales,
Autour d’elle, plus
d’abeilles ne
bourdonnent
Puis un beau matin,
le vent va
l’emporter dans une
rafale.
Dans mon cœur, j’ai
une rose,
Que tu ma donné par
un jour morose.
En lettre d’or j’y
est inscrit ton nom,
Il n'y a que toi et
moi qui le sait
comme de raison.
Cette rose en mon
cœur ne se tarira
jamais,
Ses racines encrées
au plus profond de
mon âme.
Est nourrit de mes
larmes à tout
jamais.
20/09/2013 Robert
Pelletier
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