L’air est lourd et étouffant.
La pluie a cessé, le vent se lamente.
Dans les arbres les feuilles frissonnent.
Sur les rochers, les vagues résonnent.
Le vent avec lui, amène les feuilles qui se meurent.
Tout comme les mots d’amour que pour toi j’ai écrit,
Le vent les souffle dans la nuit.
Et dans mon cœur, se fanent les fleurs.
Sous une légère brise, les feuilles se sont enlacées,
Se tenant l’une contre l’autre, ne voulant se séparer.
Elles semblent danser une dernière valse sans fin,
Ne laissant derrière elles que des chagrins.
De ce grand amour, qui ne fut qu’un rêve,
Qui s’est éteint à tout jamais.
Apportant avec lui, mon plus doux secret,
Que toi seul connais.
Robert Pelletier.
25/08/2013
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