L’amour
qui
fait
mal.
Permettez-moi
pour
un
moment,
de
me
substituer,
À
une
jolie
jeune
femme,
qui
a
ouvert
grand
son
cœur.
Provenant
d’un
champ
fleuri
de
roses,
Dont
les
larmes
dans
un
ruisseau
s’écoulent.
Tout
comme
l’amour,
qui
jour
après
jour
de
ses
passions,
Fait
souffrir
un
cœur
qui
a
trop
aimé.
De
ses
larmes,
comme
un
ruisseau
qui
emplit
mon
âme.
Qui
a
peur
de
mourir,
noyé
de
tant
de
chagrins.
Toi!
Dont
la
semence,
a
semé
en
mon
cœur,
Cette
rose,
qui
ne
cessera
jamais
d’aimer.
De
ta
force,
avec
indifférence
tu
as
brisé
mon
rêve.
La
peur
de
m’aimer,
de
donner,
de
comprendre.
Ton
âme
a
eu
peur
de
souffrir
et,
de
mourir.
Tu
es
parti
dans
un
autre
chemin,
Me
laissant
seul,
avec
mes
chagrins.
Mes
nuits
ne
sont
plus
que
solitude,
sans
chaleur.
Mes
jours
et
mes
nuits
non
plus
de
fin.
L’été,
l’automne,
l’hiver
on
passés,
Croyant
que
tu
reviendrais,
car
je
ne
peux
t’oublier.
J’aurais
tant
aimé
te
montrer,
que
l’a
profondément
sous
la
glace,
Repose
en
paix,
l’être
que
tu
as
semé
en
moi,
Et
que
tu
n’as
pas
voulus
aimé,
après
avoir
joué
Avec
mes
sentiments,
pour
satisfaire
tes
désirs.
Car
pour
moi,
tu
n’avais
pas
d’amour
et,
Tu
ne
mas
laisser
que
des
chagrins
qui
déchire.
Mais
sache
que
bientôt
là
sous
la
neige.
Au
printemps,
t’auras
semé
un
jardin
de
roses.
17/01/2013
Robert
Pelletier.
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