Quand mes doigts touchent le clavier, pour écrire
des mots que je ne peux dire.
Je sens tes doigts, doux comme une pétale de rose, envahir mon cœur
D’une douce chaleur le faisant palpiter, comme s'il courait après un rêve
Qui va mourir d’ennui, dans la nuit des temps.
Il crie, je t’aime, je t’aime, mais ce sont comme des paroles
Qui s’envolent au gré du vent, plutôt que des écrits qui sont
Imprégnés dans le cœur et, qui disparaissent seulement
Quand meurt le cœur.
Ça fait partie de la vie, de l’amour qui fait souffrir.
Mais il faut garder la foi, car d’aimer c’est d’aimer Dieu
Sans le connaitre ni l’avoir jamais vu, mais pourtant on le sens là
Tout près de nous et dans notre cœur.
Quelques fois il se fâche, pour nous faire vivre tempêtes et orages
Et, vivre le mal d’aimer. Mais ce n’est que pour nous faire aimer d’avantage
Tout en douceur, jusqu’au moment où l’amour
S’évanouisse lentement dans la nuit où meure la vie.
Robert Pelletier.
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27/12/2012
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