Pour ceux qui se sentent seuls.

Vivant seul, dans le silence de la solitude.
Je pense et, médite en regardant vers demain.
Le cœur lourd, d’une longue vie qui a passé comme l’éclair,
Je me dis, à quoi bon? Le passer est. Mort.

Mais, mon cœur ne veut se séparer de mes angoissent, mes peines.
Quand on est seul, on ne peut parler à personne.
Alors, il est plus simple d’écrire, car ces plus facile de s’exprimer.

J’ai écrit pour me libérer de cette prison qui,
Enfermais tous mes désespoirs, en me disant que,
Tout ce que j’ai vécu, passeraient à l’histoire,
Car sans histoire il ni aurais jamais eu de passer.

Chaque seconde à venir est espoir, chaque seconde passer,
Est le présent qui meurt et, entre les deux il y a toute mes amis (es)
Et tous ceux que j’aime.

Maintenant que la porte de cette prison c’est ouverte
Pour me libérer de toutes les peines qui emplissaient mon âme,
Mon cœur s’est ouvert à tous ceux qui ont du chagrin et, à chaque instant
Je vie la foi, l’espoir, l’amour et l’avenir, qui eux ne meurt jamais.

Si Dieu veut bien me prêter vie jusqu’à cent ans,
Même avec souffrances, où angoissent, je ne m’en plaindrai jamais.
Car il me restera encore dix-huit ans de vie à passer
Avec mon fils, mes amis (es) et tous ceux que j’aime.

                                     Robert Pelletier.

15/11/2012

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