Ce matin, en m’éveillant le cœur palpitant.
Croyant, t’avoir vue dans mon rêve.
Te caressant, si douce était tes lèvres.
Me rappelant, les jours de nos vingt ans.
Debout, au côté de mon lit.
Dans la pénombre de la nuit.
Te pressant les mains, contre mon cœur.
Revivais en moi, des moments de splendeurs.
Qui, jours après jours, quand tu étais là.
Emplissaient ma vie, de tant de douceurs.
Sachant pourtant, que tu n’es plus là.
Je compris alors, que j’avais perdu une fleur.
Cette fleur, que j’ai aimée, de toute mon âme.
Personne de ma vie, ne pourras éteindre cette flamme.
Qui depuis, le premier jour de nos amours.
Alimente, en moi tant d’amours.
Vivant maintenant, que de solitude.
Dont ma vie, n’est plus qu’incertitude.
De voir, à travers le rideau que le jour se lève.
Dans ma peine, je vois maintenant que ce n’était qu’un rêve.
Robert Pelletier.
02/09/2011
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