Avec mon argent, j’ai pu me louer un petit appartement, où tous ceux
Qui m’entourent ont les cheveux blancs, pour y vivre dans le silence de ma
solitude.
Mais je ne peux y acheter la présence et, la parole de celle que je n’ai plus.
Je me suis acheter un beau lit, moelleux et confortable, mais je ne peux y
acheter le sommeil.
Je me suis acheté, une belle horloge en chêne qui sonne les heures
Pour voir filler le temps, des peines de mon cœur déchiré par la douleur de son
départ.
Mais je n’ai pu acheter le temps, pour la garder encore près de moi.
Je me suis acheter deux beaux fauteuils, mais que je sois assis
Dans l’un ou dans l’autre, je n’ai pu acheter sa présence à mon côté.
Je pourrais m’acheter, le meilleur des médecins, mais je ne peux acheter la
santé.Je pourrais acheter un cœur, et me le faire greffée, pour remplacer le mien qui
a trop pleurer,
Mais je ne peux acheter l’amour, s’il n’en a jamais eu.
J’ai dépensé beaucoup dans mon passer, mais je ne peux y acheter mon avenir.Même avec des milliards, je ne peux acheter ta présence à mon côté mon amour,
Car tu es partie pour l’éternité, emportant avec toi la moitié de ma vie.
Pour mon fils, qui est né déficient, je n’ai pas eu besoin d’argent pour qu’il
me donne son amour.
Je n’ai pas besoins d’argent, pour acheter l’éternité, car elle va m’être
donnée,
En rêvent, qu’un jour je te reverrais mon amour.
De l’argent on peut en avoir beaucoup, mais on ne pourra jamais y acheter
L’amour et le bonheur, car il ne suffit que d’un sourire pour les obtenir.
Chaque jour qui passe, est un jour de moins à souffrir,
À vivre, mais un de plus à se souvenir.
Et çà, ça ne coûte rien.
Rober Pelletier.
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11/09/2012
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