Cette nuit, j’ai rêvé d’un immense pays.
Ou tous ceux qui y vivais, se promenais,
Dans des sentiers, ou tous les arbres, n’était que tendresses.
Pleins de feuillages, aux couleurs d’amours.
Les sentiers, couverts que de pétales de tendresses, n’était que douceur.
Ou ni circulais que les cœurs, jeunes ou vieux,
Blesser dans leurs vies, par manque de tendresses et d’amours.
Circulent ainsi dans ces sentiers, pavés de pétales de tendresses.
Les cœurs, lentement se cicatrisants de leurs blessures causer,
Par manques d’affections, de tendresses, de caresses et d’amours.
Dont ils n’avaient pas été comblés dans leurs vies.
Dans le passer, mon cœur s’y était réfugié, et dans ce pays.
Il y a retrouvé la paix, le bonheur, l’amour, et le gout d’y vivre,
Heureux pour y passer le reste de sa vie.
Dans ce pays, mon cœur y a construit une demeure,
Pour que jamais plus il ni ai de pleurs, pour y refaire sa vie.
Chère amour, ce pays était ton cœur, que même si ton corps
Ni est plus, mon cœur y resteras pour finir sa vie.
De ce qui reste de ma vie mon amour, mon cœur y passera une éternité.
Dans notre vie d‘amour, j‘aurais aimé. Que mes larmes,
Naissantes de tes yeux, caresse mes joues,
Pour y mourir sur mes lèvres.
Ton cœur qui est toujours en moi, y sera pour l’éternité.
Robert Pelletier
04-12-2011
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