Après avoir conduit, mon fils chez
lui à noël.
Dans son nouveau jardin, là où il fleurie.
De retour chez-moi, dans ma solitude.
Sur ma joue, du plus profond de mon cœur, surgit une larme.
Elle avait une valeur inestimable, car elle était vraie.
Contenant plein de merveilleux souvenirs.
Elle perlait comme un diamant, scintillant de vérité.
Pourtant, aux yeux de tous, elle est indéchiffrable.
Que nul, ne peux comprendre les chagrins qu‘elles renferment.
Comme une merveille, s’écoulant sur ma joue.
En y creusant un ruisseau, tracent le chemin,
De l’autre qui la suivait, pleines de joies ou de nostalgies.
Je suis le seul à comprendre, que dans ce silence.
Elle crie, que l’a ou il y a une larme.
Il y a un cœur, qui aime et se souvient.
Robert Pelletier.
26/12/2011
Partager sur facebook |