De mon fauteuil du salon toi et moi,
sur une photo au mur accroché.
Tous deux, avais vingt-cinq ans, c’était le matin où l’on ses marier.
Pressant mon bras contre ton corps, ta voix comme une douce musique, murmure à
mon oreille, maintenant pour toujours tout va être magique.
Tes yeux brillant comme un rayon de soleil.
Tes paroles, à mes oreilles était comme une symphonie.
Jamais de ma vire, je n’aurais pensé vivre un moment pareil.
Pourtant après cinquante-quatre années de bonheur a pris fin ta vie.
Après un long voyage vers un nouveau pays, tu es parti.
Là où tant de monde sur cette planète se sont réfugiés.
Ce doit être un pays merveilleux, pour si longtemps y demeurer,
Car personne de ce monde, d’y revenir n’ont jamais osé.
Ce doit être un pays, où il ni a que bonheur et amour,
Puisque tous, femmes, hommes, enfants,
Jeunes ou vieux, y vivent depuis si longtemps,
Dans ce ciel blanc, tous veulent y demeurer toujours.
Et de nous regarder de là-haut vivre nos misères,
Jamais personnes n’en est revenu pour nous raconter
Qu’ici sur terre, tous ne vivent que l’enfer.
Un jour, moi aussi avec mes peines et mon cœur brisé.
Je vais aller te retrouver toi que j’aimais tant.
Pour revire l’amour de nos vingt ans.
Nous avons vécu, quelques années de bonheur
Ah! Que se doit être merveilleux, de vivre une éternité sans malheur.
Que ce doit être merveilleux de traverser toute ces galaxies.
Dans ce voyage éternel, entendre les anges jouer des symphonies.
De retrouver la famille, frères, sœurs, maman, papa,
Et après un siècle passer, connaitre nos arrières grand parent.
De tous ceux qui vivent encore sur cette terre de malheur.
Le soir, levant les yeux vers le ciel plein d’étoiles,
Ne pensant pas qu’un jour eux aussi, leurs âmes deviendraient une étoile,
Pour enfin tous se retrouver là, où il ni a qu’amour et bonheur.
10/08/2012 Robert Pelletier.
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