Hommage à toi Fernande, pour une si grande amitié.

Ô! Toi Fernande, qui par un beau soir de juillet mille neuf cent quarante-neuf j’ai rencontré.
Toi, très jolie, te regardant dans les yeux j’ai vu ta détresse.
Toi qui aimais beaucoup parler, j’ai sentis en toi de l’anxiété.
De te savoir fiancé, venant de Gaspé, je remarquais de la tristesse.

En moi, je sentais déjà naitre une grande amitié.
Toi, si franche et respectueuse, tes yeux me disais que tu avais confiance.
C’est pourquoi, ce premier soir je t’ai demandé de t’accompagner.
Pour marcher ensemble, et faire plus ample connaissance.
De savoir que tu étais déjà amoureuse d’un garçon qui de si loin t’attendais.
Par respect pour toi, jamais je n’aurais osé te faire la cour.
Et par discrétion, je ne t’ai jamais demandé pourquoi? À Montréal tu étais.
Après trois mois, qui furent pour moi très agréable, tu es parti retrouver ton amour.

Même après ton départ, sans être amoureux de toi, je m’ennuyais.
Mes soirées étaient tristes et longues, et personne d’autres ne m’intéressais.
Puis un matin à l’église, mes yeux ont croisé ceux d’une jeune fille.
Pour elle et moi, ce fut le grand amour, duquel on a fondé une famille

À cette jeune fille, avec qui j’étais en amour.
Je lui ai raconté, l’amitié que j’avais eue pour toi cette année-là.
Elle me dit, ce qui ces passer avant de vous connaitre ne me dérange pas.
Car je sais très bien, qu’avec elle vous n’étiez pas en amour.

Le jour où en mille neuf cent cinquante-trois j’ai reçu ta première lettre.
Qui me disais que tu étais amoureuse de moi.
J’en fus tellement surpris, que j’ai montré à ma chérie ta lettre.
Elle me dit, ça ne me surprend pas, car ces par tes yeux que je fus amoureuse de toi.

C’est ainsi qu’entre nous, est né une si grande amitié.
Quand ta maman mas écrit en 1973 pour me dire que tu étais décédé.
Ma peine fut si grande, que ses comme si j’avais perdu ma petite fille.
Pour ma chérie et moi, ce fut comme perdre un membre de notre famille.

Maintenant que moi aussi, d’avoir perdu ma chérie.
Qui fut pour moi un chagrin si pénible à supporter.
Maintenant seul dans mon appartement, de revoir mon passer.
J’ai eu beaucoup de chance, d’avoir été aimé par deux femme aussi jolie.

 30/10/2011 Robert Pelletier.

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