Pour mon épouse qui n’est plus.

Ce soir, dans une grande tristesse
Je te revois dans ta belle jeunesse.
Quand mes yeux ont croisé ton regard,
De toute ma vie, je n’avais rien vu d’aussi beau.

Autour de moi, circulais les gens sans égard
Et, sur un nuage j’étais balloté comme sur un bateau.
Par un beau soir de juin, on s’est enfin parler,
Après quelques années nous nous sommes mariés.

Ensemble on a vécu des centaines d’épreuves,
Qui en nous, a laissée des cicatrices qui demeurent.
Ce soir pour oublier ma peine, à mon ordinateur,
J’écris sans cesse notre vie pour apaiser mes pleurs.

Ma peine est si grande de ton absence,
Que pour moi la vie n’a plus de sens.
La flamme de mon cœur ne peut plus s’éteindre,
Car de ton absence je ne peux plus t’étreindre.

Pendant des années tu as souffert en silence
Et, de te voir ainsi j’avais perdu confiance,
Pour ne plus te voir souffrir, il t’a amené dans son paradis,
Il est venu me volé une grande partie de ma vie.

Depuis ce temps, je ne vie plus que comme une ombre,
Et dans le ciel, les nuages sont de plus en plus sombres.
Dans notre vie de jeunesse ensemble était souder nos cœurs,
Mais il a décidé de briser notre bonheur.

Il t’a amené avec lui pour l’éternité,
Mais il ne pourra jamais m’empêcher de t’aimer.
Matin et soir sur tes cendres je fais une prière,
Car pour moi, c’est mieux que de tomber dans la bière.

Dans mon cœur à tout jamais tu vas demeurer
Et, ce seras ainsi pour l’éternité.
Un jour viendras, que mon âme s’envoleras vers toi
Et, quel bonheur! Ce sera de me retrouver près de toi.

Plus que tout au monde je t’aime encore.
Bientôt à ton coté seras mon corps.
Notre amour, qui pour nous étais éternel.
Ensemble ce poursuivras notre amour dans le ciel.

                               Robert Pelletier

                                                 06/05/2011
 

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