Pleurer le soir,
avant de s’endormir.
Sur notre oreiller,
où se cache pleins
de ouvenirs.
Ils entrent dans nos
rêves pour nous
faire réfléchir.Pour
qu’au petit matin,
on pense à l’avenir
Sans que personne ne
le sache,
Derrière un sourire
se cache.
En ce nouveau jour,
comme si rien ne
s’était passé,
La nostalgie revient
et, on ne cesse de
penser.
On regarde
devant-nous, vers
demain,
On ne voit plus le
bout de notre
chemin.
Une montagne de
souvenirs se dresse
devant.
C’est comme si l’on
transportait mille
ans.
Le cœur serré
jusqu’à la gorge,
Pleurs nos yeux,
comme une rivière
qui déborde,
Nos espoirs, vont se
noyer dans la
rivière
Et bientôt nos
demain, seront tous
des hier.
Toi! Qui a fait
partie de mes rêves,
Sache pourtant, que
toujours quand même,
Sans regret, cher
amour je t’aime…
Robert Pelletier.
02/04/2017 |