Ce soir, dans une profonde solitude,
j’écrivais mes souvenirs, qui racontaient les moments tristes de notre vie. Où
jours après jours, s’enfuyait notre avenirs
qui de toi emplissait ma vie de tant d’amours.
De mes yeux sur mes joues, s’écoulais des larmes qui tombaient sur mon texte,
Où j’y écrivais les moments de désespoir et de malheurs, qui a accompagné notre
vie.
Dans ce silence, sous une douce lumière, comme une musique, j’entends une voix
Qui murmure à mon oreille, chéri ses moi, ne soit pas craintif, je suis là à ton
coté dans
une autre pièce, sans portes ni fenêtres car elles sont inutiles.
Seul mon âme y est et veille sur toi et notre fils, même s’il n’est plus avec
toi.
Ne pleure plus sur moi, car bientôt nos âmes se retrouveront ensemble pour y
vivre
Encore l’amour de nos vingt ans.
Ces larmes qui souillent cette page, ne fait qu’effacer les mots, malheur,
tristesse, désespoir,
Que toi et moi avons vécu dans ce monde qui n’est qu’éphémère.
Vide ton cœur de ces mots si triste, et remplace-les, par amour à l’infinie.
Ton âme et celle de notre fils, bientôt passera le mur de cette pièce, pour
venir me retrouver dans ce temps infinie, où il ni a qu’amour et bonheur, sans
souffrance pour l’éternité.
Dans mon cœur, ce qui me reste d’amour, vas être consacré à mon fils, pour qu’il
puisse finir ses jours heureux. Avec de bonne gens, qui lui apportent
l’affection et l’amour dont il a besoins pour poursuivre sa vie dans le bonheur.
Mon rêve si cruel soit-il, serait que je puisse être encore là, pour lui fermer
les yeux, afin qu’il n’est à souffrir de mon absence pour finir sa vie.
Ainsi pourrais prendre fin ma vie, dans la paix, et sans regret, pour enfin
aller retrouver
Tous ceux que j’ai tant aimés pour l’éternité.
Si je retrouvais mes vingt ans, c’est avec toi, Thérèse ma chérie, mon amour,
que je referais le même chemin qui nous a fait vivre tant de bonheurs.
Robert Pelletier.
14-06-2012
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