L’histoire de ma vie.

À mes vingt ans, un beau matin mes yeux on croiser ton regard.
Tu étais aussi belle qu’un ange, qui venait de percer un nuage.
Tu étais, comme une rose blanche sans couleurs.
Qui venais de naitre du jardin de mon cœur.

Mon cœur fut embrasé d’un si grand bonheur.
Et dans mon corps, ce créait une douce chaleur.
Pour la première fois, je sentais naitre en moi un grand amour.
Jamais dans ma jeunesse, je n’avais vécu d’aussi beaux jours.

D’aussi loin que je puisse voir à l’horizon de ma vie.
Tant d’espoirs en moi, pour la première fois m’a fait aimer la vie.
Les jours, les semaines, fuyais sans que je puisse te connaitre.
Puis un soir, mon destin vers toi m’a conduit pour mon bienêtre.

C’est ainsi qu’entre toi et moi est né un amour si grand.
Qui n’était fait que de respect d’un amour grandissant.
Et là devant moi, tu étais cet être dont j’avais toujours rêvé.
Dans tes yeux, tant d’amours je voyais, que jamais je ne t’aurais fait pleurer.

De notre amour si grand, un jour par miracle un être nous fut donné.
C’est dans le malheur et la tristesse, que cet être nous fut confié.
De tous notre amour, nous lui en avons donnez pour faire son bonheur.
Et de l’amour que nous lui avons donnez, pour nous ne fut jamais un malheur.

Toi qui de ta vie d’amour et de sacrifice, un jour tu as connu tant de souffrances.
Même avec tout l’amour que j’avais pour toi, un soir tu es parti pour ton dernier voyage.
Qui à tout jamais à briser ma vie, dont je n’ai plus qu’une image.
De cet être que tu m’as laissé, ici n’est plus pour lui éviter des souffrances.

Maintenant il a trouvé des gens qui le rendent heureux.
Et moi seul dans ma vie, je te revois en rêve mon ange.
En regardant fuir le passer, j’y trouve pourtant tant de jours heureux.
Dans un avenir prochain, mon âme traversera un nuage pour y retrouver toi mon ange.

Ma vie à commencer le jour où je tes connu, 20 juin 1950.
Et c’est terminer le jour de ton départ. 6 mai 2009.
Personne au monde, ne peut effacer 59 ans d’un véritable amour.

                           Robert Pelletier.

      06/11/2011
 

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