Le temps fuit et sans retour,
emporte avec lui nos tendresses.
loin de cet heureux séjour,
le temps fuit sans retour.
Mon cœur embrasé de tes caresses
me font frémir d’allégresse,
ta douce main se pose sur mon cœur
et, chaque battement est un bonheur.
Douce nuit d’un rêve d’amour
Sourit à nos ivresses,
Nuit plus douce que le jour,
Je me nourris de cette tendresse.
Le soleil déjà se lève et s’enfuit mon rêve,
emportant avec lui mes ivresses.
Ta main sur ma joue essuie mes chagrins,
et mon rêve qui s’enfuit, ne reviendra pas demain...
Robert Pelletier.
18/11/2014
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