On m’avait dit, tu seras surement heureux
Vis ta vie, fais pour le mieux
Hélas ! Ce bonheur je le cherchais
De le trouver, parfois je désespérais
Selon moi les autres étaient tous heureux
Mais je n’étais jamais entré chez eux
Avaient-ils comme moi bien des tracas
A bien les regarder je ne croyais pas
Comment pouvais-je apprécier ma vie
Mon cœur, était toujours plein d’envies
Les gens je pense, je ne les aimais pas
Surtout, que je ne les comprenais pas
Jeune, j’avais si souvent rêvé
Ma vie, je la voyais comme un bel été
Mes joies pourtant se comptaient au compte-goutte
Des moments de bonheur y’en avait pas pantoute
Etre heureux en fin de compte, devait avoir un prix
Et j’ai ouvert grands mes yeux, j’avais compris
Il ne suffisait pas de croire au bonheur
Je devais être celui qui le crée son bonheur
Et ce miroir, que souvent j’avais regardé
N’était pas celui que je devais briser
A quoi me servait de toujours chialer
C’était moi seul, que je devais changer
Texte Claude Marcel Breault 28-09-12
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