Lady Di, ce 31 août 2014 marquera le 17ème anniversaire de sa mort.
Le 30 août 1997, le couple Hemad Fayed dit Dodi Al-Fayed - Diana Spencer arrive au Ritz,
un célèbre palace parisien appartenant au milliardaire égyptien Mohammed Al-Fayed, père de Dodi.
C'est vers 0 h 20 que l'accident de voiture qui coûta la vie au couple a eu lieu

15 h 20
Le couple Dodi Al-Fayed - Diana Spencer se pose sur l'aéroport du Bourget avec son
jet privé Gulfstream IV, en provenance d'Olbia, en Sardaigne
où il avait passé la fin de ses vacances.
16 h 35
Le couple arrive au Ritz, un célèbre palace parisien situé sur la chic place Vendôme,
au 1er arrondissement de Paris, dont le propriétaire n'est autre que Mohamed Al-Fayed,
le père de Dodi Al-Fayed.
19 h 0
Retour au n° 1, rue Arsène-Houssaye, dans l'appartement de Dodi. Ils se lavent puis se reposent.
Les photographes qui suivent le couple à moto, comme en voiture, font le guet au pied de l'appartement.
21 h 25
Retour au Ritz dîner dans le restaurant L'Espadon, mais le couple décide finalement de se faire servir
à l'étage dans la suite impériale, le service de sécurité du Ritz s'inquiétant du comportement
étrange dans la salle de restaurant de deux clients inconnus, avec de gros sacs en plastique à leurs
pieds. L'enquête révélera plus tard que les deux clients en question n'étaient en fait que de
paisibles touristes1. Le couple est filmé par les caméras de surveillance2.
31 août 1997, 0 h 10
Des paparazzis les guettant à la sortie du Ritz, Dodi décide de laisser devant le palace sa propre
voiture, une Mercedes-Benz 600 conduite par son chauffeur personnel Philippe Dourneau ainsi que la
Range Rover des gardes du corps conduite par Jean-Francois Musa, propriétaire de la compagnie Étoile
Limousines qui fournissait des voitures de fonction au Ritz, simulant le départ à bord de Diana
et Dodi3. Le couple emprunte à l'arrière du palace une seconde sortie plus discrète et entre dans une
Mercedes-Benz W140 immatriculée 688 LTV 75 (voiture leurre non homologuée4 de la compagnie Étoile
Limousines pour échapper aux paparazzi) conduite par Henri Paul, chef de la sécurité du Ritz, le
garde du corps Trevor Rees-Jones montant à l'avant du côté passager. Mais quelques paparazzi qui ne
se sont pas laissé prendre à la manœuvre de diversion s'approchent déjà .
0 h 20
La Mercedes démarre, à destination de l'appartement de Dodi, court trajet qui doit durer cinq minutes.
Des paparazzi les suivent et certains les précèdent déjà , comme le montre une photo prise par Jacques Langevin
de la Mercedes par son avant5. Mais Dodi change de plan et demande à Henri Paul de contourner
la route par des petits carrefours[réf. souhaitée] et de foncer à travers des voies moins éclairées
pour échapper à une douzaine de paparazzi et un motard de presse et gâcher leurs photos nécessitant
le flash6. Le chauffeur prend rue de Rivoli, traverse la place de la Concrode puis, au lieu d'emprunter
les Champs-Elysées, s'engage à vive allure dans la Voie Georges-Pompidou, le cours la Reine et le
cours Albert-Ier, trois voies sur berge rive droite de la Seine, parvenant à distancer les paparazzi7.
entre 0 h 23 et 0 h 25
Amorçant mal le virage du souterrain du pont de l'Alma alors qu'il roule à une vitesse estimée à 105 km/h, Henri Paul
« freine une première fois. Sur 19 mètres, comme l'attestent les traces de pneus sur la
chaussée. La Mercedes effleure le troisième pilier qui sépare les deux voies. (On retrouvera par terre
des débris de phare.) L'embardée se poursuit8. Henri Paul freine à nouveau, sur 32 mètres cette fois,
avant de s'écraser de plein fouet sur le treizième pilier. La voiture fait un tête-à -queue »9. L'impact frontal
contre le pilier de béton armé, non protégé par une glissière de sécurité, est violent. Dodi et
Paul meurent sur le coup ; Diana , recroquevillée entre les deux sièges et en coma vigil, et son garde
du corps Trevor Rees-Jones, le seul a avoir attaché sa ceinture de sécurité, sont grièvement blessés.
Ils sont d'abord réanimés sur place alors que la police tente d'écarter les paparazzi qui mitraillent
la Mercedes7.
1 h 50
Diana est transporté en SAMU à l’hôpital à 1 h50 du matin. Sur le chemin, elle fait un second arrêt cardiaque au
niveau du pont d'Austerlitz, ce qui oblige le médecin, le docteur Martino, à s'arrêter
sur le bord de la route pour faire redémarrer le cœur. L'ambulance roule lentement (40 km/h) et met
environ 15 minutes pour arriver à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière car rouler au-delà aurait augmenté
la pression artérielle de la victime et ainsi aggravé son état, Diana faisant notamment une hémorragie interne.
Une thoracotomie d'urgence met en évidence une plaie importante de la veine pulmonaire
gauche. Malgré la fermeture de cette plaie et un massage cardiaque interne et externe, les médecins
la déclarèrent morte deux heures après son arrivée, à 4 h 25 du matin.
5 h 45
Le décès est officiellement déclaré.
Les funérailles à l’abbaye de Westminster, le 6 septembre ont rassemblé environ 3 millions de personnes à Londres.
Plus d’un million de bouquets ont été déposés à son domicile londonien au palais de Kensington. On demanda au public
de ne plus apporter de fleurs au domaine familial d’Althorp, car le nombre de gens et de fleurs sur les routes
surchargées mettait en danger la sécurité publique.
La réaction de la famille royale à la mort de Diana causa un tollé sans précédent. Le respect pointilleux
du protocole de la Maison de Windsor a été interprété par le public comme une absence de sensibilité.
Le refus de Buckingham Palace de mettre en berne l’Union Jack provoqua des manchettes acerbes dans
les journaux : « Où est notre reine ? Où est notre drapeau ? » demandait le Sun. La reine, qui était
revenue de Balmoral à Londres, accepta une allocution à la télévision. À la demande expresse de Downing Street,
ce qui devait être un enregistrement devint du direct et le texte fut revu par Alastair
Campbell pour être « plus chaleureux ».
Le public présent aux funérailles jeta des fleurs au passage de la procession tout au long de son
parcours. À l’extérieur de l’abbaye de Westminster, la foule acclamait les nombreuses célébrités qui
se trouvaient à l’intérieur : le chanteur Sir Elton John (qui a interprété une version de sa chanson
Candle in the Wind, réécrite à cette occasion), Tom Cruise et Nicole Kidman, le metteur en scène
Steven Spielberg, l’homme d’affaires britannique Richard Branson, la reine Noor de Jordanie, Hillary
Rodham Clinton et Bernadette Chirac. La cérémonie religieuse a été retransmise en direct à la télévision.
Des haut-parleurs avaient été placés à l’extérieur pour que la foule puisse entendre le déroulement de l’office.
Les invités applaudirent les paroles du frère de Diana, Lord Spencer, qui attaqua vertement la presse et critiqua
indirectement la famille royale pour son comportement vis-à -vis de sa sœur.
Près de 17 ans après sa disparition, Lady Di continue à faire parler d'elle. Alors que l'on célébrera ce
31 août 2014 l'anniversaire de sa mort, de nouvelles révélations font surface avec la sortie d'un ouvrage retraçant
la dernière nuit de la princesse. Après les accusations de trahison, les médisances, la mère des princes
William et Harry est à nouveau au centre de l'attention.
Ancien policier de la BAC, Daniel Bourdon aura mis près de 17 années avant de pouvoir écrire son
livre "Diana, cette nuit-là ". Entre témoignage personnel, il fait partie des premiers arrivés sur
les lieux de l'accident, et éléments de fiction, il revient sur les dernières heures de Lady Di.
Alors que son livre sort ce jeudi, il s'est confié au Parisien. Interviewé par le journal, il retrace
tout d'abord son arrivée sur les lieux : "Avec mon équipe, nous avions pour mission de sécuriser
les sous-sols de l'hôpital de la Salpêtrière. Il fallait notamment éviter qu'un paparazzi vole une
photo. Nous avons assisté à son arrivée sur la civière, puis à son entrée au bloc opératoire.
Elle était inconsciente, les yeux fermés. Elle avait eu une artère pulmonaire arrachée et je
sais aujourd'hui qu'il était quasi impossible de la sauver. Et pourtant, je n'ai jamais pensé
qu'elle allait mourir. C'est en voyant la mine défaite des médecins sortant du bloc que j'ai compris
qu'elle était perdue."
L'ancien policier s'exprime également sur les circonstances de la mort de Diana, maintes fois remises
en question (on pense notamment à la fameuse théorie du complot, finalement écartée par Scotland Yard).
Il affirme : "La thèse de l'assassinat relève du fantasme. Diana est morte dans un accident bête et méchant.
Elle n'aurait pas dû mourir ainsi. Mon livre n'est pas une contre-enquête. Il restitue
les choses telles qu'elles sont. Reste que, selon moi, la princesse ne disposait pas du niveau de
sécurité et de protection qu'une telle icône méritait. C'était du bricolage. Qui a permis un
enchaînement de circonstances à l'issue dramatique". Résultat, on la pleure encore aujourd'hui...
Lady Di au coeur du scandale, la princesse avait-t-elle trahi la famille royale ?
Un peu plus de 16 ans après sa mort, Lady Diana continue de régulièrement faire parler d'elle.
Le nom de la princesse de Galles se retrouve depuis quelques jours mêlé au procès du journal
News of the world. De nouvelles révélations clament en effet l'implication de la princesse dans
l'affaire des écoutes du magazine.
Alors que l'on célébrera cet été 2014 le 17ème anniversaire de sa mort, Lady Diana voit aujourd'hui
son nom rattaché au procès du journal News of the world. Actuellement jugé pour l'affaire des écoutes de la
famille royale, le célèbre tabloïd vient d'apporter une nouvelle pièce clef à l'enquête. L'un des journalistes
de NOW, Clive Goodman chroniqueur royal pour le magazine vient en effet de livrer un témoignage incriminant
la princesse de Galles alors en plein divorce du Prince Charles. Après avoir été qualifiée de
"femme méchante" par l'un des membres de la famille royale il y a quelques mois, Lady Di est à nouveau la
cible de révélations acides. Séparée du Prince en 1992 après 11 années de mariage, Lady Di aurait supposément
fait parvenir l'annuaire interne recensant tous les numéros de la famille royale ainsi que ceux
de toutes les personnes travaillant au palais.
Le journaliste avoue ainsi : "C'était une période très, très difficile pour elle. Elle m'a dit
qu'elle voulait que je vois cet annuaire, elle voulait que je vois l'étendue du personnel de son
mari en comparaison du sien. Elle était dans un état d'esprit très amer vis-à -vis du Prince Charles Ã
ce moment-là , elle avait l'impression d'être submergée par les gens de son entourage à lui. Elle cherchait
un allié pour s'en prendre à lui et montrer le genre de forces auxquelles elle devait faire face".
Clive Goodman est actuellement accusé d'avoir payé la police afin d'obtenir les numéros de téléphone de la
famille royale. En 2007, le journaliste avait également été jugé pour avoir mis plusieurs téléphones sur écoute.
Si en décembre dernier, la théorie du complot avait été écartée dans la mort de Lady Di, cette nouvelle
affaire vient à nouveau ébranler les princes Harry et William (actuellement bien loin de l'Angleterre).
Et un scandale de plus pour la couronne d'Angleterre !
Le 30 août 1997, le couple Hemad Fayed dit Dodi Al-Fayed - Diana Spencer arrive au Ritz,
un célèbre palace parisien appartenant au milliardaire égyptien Mohammed Al-Fayed, père de Dodi.
C'est vers 0 h 20 que l'accident de voiture qui coûta la vie au couple a eu lieu

15 h 20
Le couple Dodi Al-Fayed - Diana Spencer se pose sur l'aéroport du Bourget avec son
jet privé Gulfstream IV, en provenance d'Olbia, en Sardaigne
où il avait passé la fin de ses vacances.
16 h 35
Le couple arrive au Ritz, un célèbre palace parisien situé sur la chic place Vendôme,
au 1er arrondissement de Paris, dont le propriétaire n'est autre que Mohamed Al-Fayed,
le père de Dodi Al-Fayed.
19 h 0
Retour au n° 1, rue Arsène-Houssaye, dans l'appartement de Dodi. Ils se lavent puis se reposent.
Les photographes qui suivent le couple à moto, comme en voiture, font le guet au pied de l'appartement.
21 h 25
Retour au Ritz dîner dans le restaurant L'Espadon, mais le couple décide finalement de se faire servir
à l'étage dans la suite impériale, le service de sécurité du Ritz s'inquiétant du comportement
étrange dans la salle de restaurant de deux clients inconnus, avec de gros sacs en plastique à leurs
pieds. L'enquête révélera plus tard que les deux clients en question n'étaient en fait que de
paisibles touristes1. Le couple est filmé par les caméras de surveillance2.
31 août 1997, 0 h 10
Des paparazzis les guettant à la sortie du Ritz, Dodi décide de laisser devant le palace sa propre
voiture, une Mercedes-Benz 600 conduite par son chauffeur personnel Philippe Dourneau ainsi que la
Range Rover des gardes du corps conduite par Jean-Francois Musa, propriétaire de la compagnie Étoile
Limousines qui fournissait des voitures de fonction au Ritz, simulant le départ à bord de Diana
et Dodi3. Le couple emprunte à l'arrière du palace une seconde sortie plus discrète et entre dans une
Mercedes-Benz W140 immatriculée 688 LTV 75 (voiture leurre non homologuée4 de la compagnie Étoile
Limousines pour échapper aux paparazzi) conduite par Henri Paul, chef de la sécurité du Ritz, le
garde du corps Trevor Rees-Jones montant à l'avant du côté passager. Mais quelques paparazzi qui ne
se sont pas laissé prendre à la manœuvre de diversion s'approchent déjà .
0 h 20
La Mercedes démarre, à destination de l'appartement de Dodi, court trajet qui doit durer cinq minutes.
Des paparazzi les suivent et certains les précèdent déjà , comme le montre une photo prise par Jacques Langevin
de la Mercedes par son avant5. Mais Dodi change de plan et demande à Henri Paul de contourner
la route par des petits carrefours[réf. souhaitée] et de foncer à travers des voies moins éclairées
pour échapper à une douzaine de paparazzi et un motard de presse et gâcher leurs photos nécessitant
le flash6. Le chauffeur prend rue de Rivoli, traverse la place de la Concrode puis, au lieu d'emprunter
les Champs-Elysées, s'engage à vive allure dans la Voie Georges-Pompidou, le cours la Reine et le
cours Albert-Ier, trois voies sur berge rive droite de la Seine, parvenant à distancer les paparazzi7.
entre 0 h 23 et 0 h 25
Amorçant mal le virage du souterrain du pont de l'Alma alors qu'il roule à une vitesse estimée à 105 km/h, Henri Paul
« freine une première fois. Sur 19 mètres, comme l'attestent les traces de pneus sur la
chaussée. La Mercedes effleure le troisième pilier qui sépare les deux voies. (On retrouvera par terre
des débris de phare.) L'embardée se poursuit8. Henri Paul freine à nouveau, sur 32 mètres cette fois,
avant de s'écraser de plein fouet sur le treizième pilier. La voiture fait un tête-à -queue »9. L'impact frontal
contre le pilier de béton armé, non protégé par une glissière de sécurité, est violent. Dodi et
Paul meurent sur le coup ; Diana , recroquevillée entre les deux sièges et en coma vigil, et son garde
du corps Trevor Rees-Jones, le seul a avoir attaché sa ceinture de sécurité, sont grièvement blessés.
Ils sont d'abord réanimés sur place alors que la police tente d'écarter les paparazzi qui mitraillent
la Mercedes7.
1 h 50
Diana est transporté en SAMU à l’hôpital à 1 h50 du matin. Sur le chemin, elle fait un second arrêt cardiaque au
niveau du pont d'Austerlitz, ce qui oblige le médecin, le docteur Martino, à s'arrêter
sur le bord de la route pour faire redémarrer le cœur. L'ambulance roule lentement (40 km/h) et met
environ 15 minutes pour arriver à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière car rouler au-delà aurait augmenté
la pression artérielle de la victime et ainsi aggravé son état, Diana faisant notamment une hémorragie interne.
Une thoracotomie d'urgence met en évidence une plaie importante de la veine pulmonaire
gauche. Malgré la fermeture de cette plaie et un massage cardiaque interne et externe, les médecins
la déclarèrent morte deux heures après son arrivée, à 4 h 25 du matin.
5 h 45
Le décès est officiellement déclaré.
Les funérailles à l’abbaye de Westminster, le 6 septembre ont rassemblé environ 3 millions de personnes à Londres.
Plus d’un million de bouquets ont été déposés à son domicile londonien au palais de Kensington. On demanda au public
de ne plus apporter de fleurs au domaine familial d’Althorp, car le nombre de gens et de fleurs sur les routes
surchargées mettait en danger la sécurité publique.
La réaction de la famille royale à la mort de Diana causa un tollé sans précédent. Le respect pointilleux
du protocole de la Maison de Windsor a été interprété par le public comme une absence de sensibilité.
Le refus de Buckingham Palace de mettre en berne l’Union Jack provoqua des manchettes acerbes dans
les journaux : « Où est notre reine ? Où est notre drapeau ? » demandait le Sun. La reine, qui était
revenue de Balmoral à Londres, accepta une allocution à la télévision. À la demande expresse de Downing Street,
ce qui devait être un enregistrement devint du direct et le texte fut revu par Alastair
Campbell pour être « plus chaleureux ».
Le public présent aux funérailles jeta des fleurs au passage de la procession tout au long de son
parcours. À l’extérieur de l’abbaye de Westminster, la foule acclamait les nombreuses célébrités qui
se trouvaient à l’intérieur : le chanteur Sir Elton John (qui a interprété une version de sa chanson
Candle in the Wind, réécrite à cette occasion), Tom Cruise et Nicole Kidman, le metteur en scène
Steven Spielberg, l’homme d’affaires britannique Richard Branson, la reine Noor de Jordanie, Hillary
Rodham Clinton et Bernadette Chirac. La cérémonie religieuse a été retransmise en direct à la télévision.
Des haut-parleurs avaient été placés à l’extérieur pour que la foule puisse entendre le déroulement de l’office.
Les invités applaudirent les paroles du frère de Diana, Lord Spencer, qui attaqua vertement la presse et critiqua
indirectement la famille royale pour son comportement vis-à -vis de sa sœur.
Près de 17 ans après sa disparition, Lady Di continue à faire parler d'elle. Alors que l'on célébrera ce
31 août 2014 l'anniversaire de sa mort, de nouvelles révélations font surface avec la sortie d'un ouvrage retraçant
la dernière nuit de la princesse. Après les accusations de trahison, les médisances, la mère des princes
William et Harry est à nouveau au centre de l'attention.
Ancien policier de la BAC, Daniel Bourdon aura mis près de 17 années avant de pouvoir écrire son
livre "Diana, cette nuit-là ". Entre témoignage personnel, il fait partie des premiers arrivés sur
les lieux de l'accident, et éléments de fiction, il revient sur les dernières heures de Lady Di.
Alors que son livre sort ce jeudi, il s'est confié au Parisien. Interviewé par le journal, il retrace
tout d'abord son arrivée sur les lieux : "Avec mon équipe, nous avions pour mission de sécuriser
les sous-sols de l'hôpital de la Salpêtrière. Il fallait notamment éviter qu'un paparazzi vole une
photo. Nous avons assisté à son arrivée sur la civière, puis à son entrée au bloc opératoire.
Elle était inconsciente, les yeux fermés. Elle avait eu une artère pulmonaire arrachée et je
sais aujourd'hui qu'il était quasi impossible de la sauver. Et pourtant, je n'ai jamais pensé
qu'elle allait mourir. C'est en voyant la mine défaite des médecins sortant du bloc que j'ai compris
qu'elle était perdue."
L'ancien policier s'exprime également sur les circonstances de la mort de Diana, maintes fois remises
en question (on pense notamment à la fameuse théorie du complot, finalement écartée par Scotland Yard).
Il affirme : "La thèse de l'assassinat relève du fantasme. Diana est morte dans un accident bête et méchant.
Elle n'aurait pas dû mourir ainsi. Mon livre n'est pas une contre-enquête. Il restitue
les choses telles qu'elles sont. Reste que, selon moi, la princesse ne disposait pas du niveau de
sécurité et de protection qu'une telle icône méritait. C'était du bricolage. Qui a permis un
enchaînement de circonstances à l'issue dramatique". Résultat, on la pleure encore aujourd'hui...
Lady Di au coeur du scandale, la princesse avait-t-elle trahi la famille royale ?
Un peu plus de 16 ans après sa mort, Lady Diana continue de régulièrement faire parler d'elle.
Le nom de la princesse de Galles se retrouve depuis quelques jours mêlé au procès du journal
News of the world. De nouvelles révélations clament en effet l'implication de la princesse dans
l'affaire des écoutes du magazine.
Alors que l'on célébrera cet été 2014 le 17ème anniversaire de sa mort, Lady Diana voit aujourd'hui
son nom rattaché au procès du journal News of the world. Actuellement jugé pour l'affaire des écoutes de la
famille royale, le célèbre tabloïd vient d'apporter une nouvelle pièce clef à l'enquête. L'un des journalistes
de NOW, Clive Goodman chroniqueur royal pour le magazine vient en effet de livrer un témoignage incriminant
la princesse de Galles alors en plein divorce du Prince Charles. Après avoir été qualifiée de
"femme méchante" par l'un des membres de la famille royale il y a quelques mois, Lady Di est à nouveau la
cible de révélations acides. Séparée du Prince en 1992 après 11 années de mariage, Lady Di aurait supposément
fait parvenir l'annuaire interne recensant tous les numéros de la famille royale ainsi que ceux
de toutes les personnes travaillant au palais.
Le journaliste avoue ainsi : "C'était une période très, très difficile pour elle. Elle m'a dit
qu'elle voulait que je vois cet annuaire, elle voulait que je vois l'étendue du personnel de son
mari en comparaison du sien. Elle était dans un état d'esprit très amer vis-à -vis du Prince Charles Ã
ce moment-là , elle avait l'impression d'être submergée par les gens de son entourage à lui. Elle cherchait
un allié pour s'en prendre à lui et montrer le genre de forces auxquelles elle devait faire face".
Clive Goodman est actuellement accusé d'avoir payé la police afin d'obtenir les numéros de téléphone de la
famille royale. En 2007, le journaliste avait également été jugé pour avoir mis plusieurs téléphones sur écoute.
Si en décembre dernier, la théorie du complot avait été écartée dans la mort de Lady Di, cette nouvelle
affaire vient à nouveau ébranler les princes Harry et William (actuellement bien loin de l'Angleterre).
Et un scandale de plus pour la couronne d'Angleterre !