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Des petites choses comique

Fait drole simple petite trouvaille
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  Lien vers ce message 09 Novembre 2014, 16:04

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Le destin tragique des Kennedy, une malédiction ?

L'histoire de la famille
Kennedy est-elle marquée par une malédiction ?
Certains faits historiques semblent confirmer cette hypothèse.
Une malédiction qui n'aurait pas commencé avec l'assassinat de JFK à Dallas en 1963,
mais au XIX siècle. Aujourd'hui, si l'on devait faire une moyenne de ces drames,
ils surviendraient environ tous les deux ans.
L'histoire de la famille Kennedy est-elle marquée par une malédiction ?
Certains faits historiques
semblent confirmer cette hypothèse.
Une malédiction qui n'aurait pas commencé avec l'assassinat de JFK à Dallas en 1963,
mais au XIX siècle.
Aujourd'hui, si l'on devait faire une moyenne de ces drames,
ils surviendraient environ tous les deux ans.
En voici la chronologie...

Les Kennedy au XVIIIIème siècle

Le 22 novembre 1858 - Patrick Kennedy meurt à 35 ans d'une tuberculose pulmonaire.
105 ans plus tard, le 22 novembre 1963, John F. Kennedy est assassinné à Dallas.

1873 - Mary Josephine ''Josie'' Hannon, 8 ans est rendue responsable
de la mort par noyade de sa soeur, âgée de 4 ans. La fille de Mary Josephine, Rose, future mère de JFK.

1881 - Mickaël Hannon JR, oncle de Rose, s'éteint à 21 ans d'alcoolisme. Maladie qui portera
le surnom de « malédiction des Irlandais » dans la famille.

1885 - Thomas Fitzgerald meurt à 62 ans, laissant ainsi à John Francis, futur père de Rose,
une fratrie composée de 8 enfants. John Francis Fitzgerald deviendra le maire de Boston.

1888 - Jimmy Hannon, 25 ans, meurt à son tour de la malédiction des Irlandais : l'alcoolisme.

Les Kennedy au XXème siècle

1905 - Lawrence Kane, proche parent des Kennedy, succombe à une insolation.

1928 - Un autre parent des Kennedy, Humphrey Charles Mahoney, meurt fauché par une voiture.
Il était accompagné de son grand-père qui décède également lors de cet accident.

1936 - Mary Agnes (Fitzgerald) Gargan, soeur de Rose, est retrouvée morte par son fils de 6 ans.
Ses 3 enfants seront élevés par Rose et Joseph Kennedy, parents du futur Président.

1941 - Joseph Kennedy fait subir une lobotomie à sa fille Rosemary (soeur aînée de JFK),
pour un léger trouble mental. L'opération est un échec. Rosemary est « cachée » pour le restant
de ces jours dans un établissement spécialisé.

1944 - Joseph P. Kennedy (frère aîné de JFK) meurt à 29 ans dans l'explosion de son avion
au cours de la deuxième guerre mondiale.

1948 - Kathleen « Kick » Kennedy, 28 ans, soeur de JFK et fille préférée de son père,
meurt dans le crash d¹un avion avec son amant, le Britannique Peter Fitzwilliam.

1955 - Les parents d¹Ethel Kennedy, belle-soeur de JFK, se tuent pendant leurs vacances
également dans le crash d'un petit avion.

1961 - Joseph P. Kennedy est victime d'une attaque cérébrale. Il perdra ainsi la parole,
et ne pourra plus ainsi participer aux prises de décisions de son fils, devenu Président.

1963 - Jackie Kennedy, femme de John, donne naissance à un fils, Patrick.
Il décède deux jours après sa naissance.

1963 - Texas, le 22 novembre. John F. Kennedy est assassiné à Dallas.

1964 - Edward M. Kennedy, frère de John, survit miraculeusement au crash de son avion.

1964 - Mary Pinchos Meyer, une des nombreuses conquêtes du président, est assassinée
dans des circonstances encore non résolues aujourd¹hui.

1967 - George Skatel, frère d'Ethel Kennedy, belle soeur de John, est tué dans un accident d'avion.

1968 - Robert « Bobby » Kennedy, frère de John, est assassiné à 43 ans à Los Angeles.

1969 - Edward M « Ted » Kennedy, frère de John, perd le contrôle de son véhicule.
Mary Jo Kopechne, sa maîtresse, meurt dans l'accident. Ted tentera d'étouffer
l'affaire après avoir pris la fuite.

1973 - Joseph P Kennedy, fils d'Ethel et Bobby, perd le contrôle de sa Jeep. Son amie Paméla
restera paralysée à vie.

1982 - Joan Bennett Kennedy, épouse de Ted, divorce de son mari sénateur pour finir
dans un centre afin d'entamer une cure de désintoxication due à l'alcool.

1984 - David Kennedy, autre fils d'Ethel et Bobby, meurt d'une overdose à la
cocaïne dans un hôtel de Palm Beach.

1985 - Patrick Kennedy, 18 ans, fils de Joan et Ted, entame lui aussi une cure de
désintoxication à la cocaïne.

1991 - William Kennedy Smith, fils de Jean (soeur de John) et Stephen Smith,
est accusé de viol sur une jeune femme dans la proprieté des Kennedy. Il est acquitté.

1994 - Jackie Kennedy Onassis meurt d'un cancer des poumons à 64 ans.

1997 - Mickaël Kennedy, fils d'Ethel et Bobby est accusé d'avoir une liaison avec sa baby-sitter,
alors âgée de 14 ans. Il meurt la même année dans un accident de ski, décapité par un câble.

1998 - Robert Kennedy Jr, fait alors une révélation à la presse. Neuf membre du clan seraient
inscrits aux alcooliques anonymes.

1999 - John-John Kennedy, fils du président, se tue avec sa femme et belle-soeur,
dans le crash de son avion, un Piper Saratoga, au large de Marthas Vineyard.

1999 - Antony Radziwill, cousin et meilleur ami de John-John meurt d'un cancer des testicules.

Les Kennedy au XXIème siècle

2001 - June Marie Verrochi, mère de la jeune baby-sitter qui entretenait
une liaison avec Mickaël Kennedy,
et, qui après ce scandale avait sombré dans l'alcool, meurt de complications
dues à l'éthylisme.

2001 - Robert Speisman, beau-fils de Maurice Tempelsman, dernier compagnon de Jackie Kennedy,
figure sur la liste des passagers à bord du vol 77
d'American airlines qui s'est écrasé sur le Pentagone.

2002 - Mickaël Skakel, neveu d'Ethel Kennedy est condamné pour le meurtre de
Martha Moxley commis 27 ans plus tôt.

2003 - Kara Kennedy, fille de Joan et Ted est traitée pour un cancer du poumon.

 
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  Lien vers ce message 09 Novembre 2014, 16:13
Caro­line Kennedy, la tragé­die en héri­tage
Elle est la dernière resca­pée du mythe Kennedy

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Un père et un oncle assas­si­nés sous l'œil des camé­ras, une mère aimante mais trop média­ti­sée
, un frère bien-aimé disparu trop jeune en mer… La fille de John F. Kennedy est deve­nue,
malgré elle, l'héroïne d'un destin funeste. Seule resca­pée d'une famille mythique,
elle a toujours fait face avec un cran éton­nant. Retour sur un destin, à l'heure où
l'Amérique célèbre un triste anni­ver­saire, celui de la mort de John Fitz­ge­rald Kennedy.

Elle était la petite prin­cesse de l’Amé­rique, mais sa vie a basculé le 22 novembre 1963. Ce jour-là, en l’ab­sence de ses parents, partis pour Dallas, Caro­line, qui s’ap­prê­tait à fêter ses six ans, devait dormir chez une amie. La maman était passée la prendre en break à la Maison-Blanche. Les deux gamines babillaient à l’ar­rière quand le flash d’info est tombé à la radio : « On a tiré sur le président Kennedy. Je répète, le président Kennedy a été abattu à Dallas, Texas… » Le temps de couper vite le son, de se garer sur le bas-côté, de confier la petite fille à son garde du corps qui suivait en berline sécu­ri­sée, on espéra que Caro­line n’avait rien entendu. Mais dans la Ford qui la rame­nait à la Maison-Blanche, l’agent du Secret Service la vit serrer très fort son ours en peluche, pres­sen­tant le pire. Malgré son jeune âge, Caro­line impres­sion­nait déjà sa grandma Rose Kennedy, la matriarche du clan, par son côté réflé­chi.

Quelques mois aupa­ra­vant, elle avait vécu la dispa­ri­tion de son dernier petit frère, Patrick, emporté deux jours après sa nais­sance. Lorsque sa nounou anglaise, Miss Shaw, lui apprit au coucher que son papa était « parti au para­dis s’oc­cu­per de Patrick », elle fut incon­so­lable, ne s’en­dor­mant qu’ivre de larmes. Le lende­main, tandis que l’Amé­rique, en état de choc, plon­geait dans l’hor­reur de Dallas, la petite orphe­line entrait dans la tragé­die. Elle n’al­lait plus la quit­ter. Aujourd’­hui, quand on demande à l’illustre – mais discrète – survi­vante des Kennedy d’où lui vient son incroyable ressort devant les terribles épreuves qui ont jalonné sa vie, elle invoque son éduca­tion. «En m’ai­mant et en me gâtant, dit-elle, mes parents m’ont donné une immense force. »

Rien d’éton­nant à ce que les Améri­cains, à l’époque, soient tombés amou­reux de la fillette en robe à smocks, très mutine, qui montait son poney Maca­roni sur la pelouse de la Maison-Blanche. Dès la nais­sance de sa fille le 27 novembre 1957, JFK – encore séna­teur du Massa­chu­setts – était tombé sous le charme de sa fille. Elle était le bébé miracle – venant après un premier enfant mort-né – qui allait donner à l’élé­gante Jackie et à son volage époux un formi­dable élan de vie pour conqué­rir le pouvoir. JFK s’était empressé de bapti­ser Caro­line son avion de campagne – un DC3 – et de bombar­der la presse de photos de leur bonheur fami­lial. Lorsque le futur président des Etats-Unis était venu attendre le résul­tat des élec­tions à Hyan­nis Port – c’est le biographe des Kennedy, Chris­to­pher Ander­sen (auteur de Sweet Caro­line ou la mémoire des Kennedy, éd. J.C. Lattès), qui raconte la scène –, la petite Caro­line, toute fiérote dans ses socquettes blanches, lui avait récité ce poème d’Edna St. Vincent Millay – hélas ! trop prophé­tique – que sa mère lui avait appris : « Je brûle ma vie par les deux bouts / Elle ne durera pas très long­temps / Mais oh mes enne­mis, ah mes amis / Elle illu­mine la nuit. »

Pour­tant, rien ne lais­sait présa­ger une issue fatale. Les jeux facé­tieux de Caro­line et de John John autour du Bureau ovale allaient offrir de la Prési­dence une image eupho­ri­sante. «Caro­line était une enfant intel­li­gente et curieuse, raconte le photo­graphe Jacques Lowe. On bais­sait les yeux, et elle était là, en train de tout obser­ver. » L’as­sas­si­nat de ce père adoré – qui lui avait donné le surnom de « Buttons », son « petit groom » – sonna pour elle la fin de l’in­no­cence. Voyant reve­nir sa mère dans son tailleur Chanel rose taché de sang, hébé­tée de douleur, Caro­line dut faire appel à sa matu­rité précoce pour l’épau­ler durant les funé­railles.

Dans la cathé­drale St. Matthews, on la vit essuyer les larmes de Jackie avec son mouchoir, en lui disant : « Ça va aller, maman, je vais m’oc­cu­per de toi. » Un lien indé­fec­tible se noua ce jour-là entre elles, qui fit dire à Jackie : « Caro­li­ne… elle m’a tenu la main comme un petit soldat. Nous sommes insé­pa­rables main­te­nant. » Dans les deux ans qui sui virent, alors que le turbu­lent John John, moins touché, restait plein de joie de vivre, ce lien fusion­nel fit plon­ger Caro­line corps et âme, les mains nouées d’an­xiété, dans le chagrin fou de sa mère.

L’in­domp­table éner­gie de Jackie repre­nant le dessus, elle entraîna ses enfants à New York, où ils reprirent goût à la belle vie dans le sublime appar­te­ment qu’elle acheta au 1040, Cinquième Avenue, sur Central Park. Et, surtout, Caro­line avait trouvé en la personne de son oncle Bobby Kennedy, qui les couvrait de tendres atten­tions, un vrai substi­tut pater­nel. Séna­teur de New York, il se portait à son tour candi­dat à l’élec­tion prési­den­tielle, quand il fut abattu, le 6 juin 1968, à l’Am­bas­sa­dor Hotel de Los Angeles, par un jeune Pales­ti­nien.

Incré­dule, téta­ni­sée au milieu du clan qui faisait front uni devant le deuil, on vit Caro­line se replier de nouveau sur elle-même. Il allait lui falloir affron­ter la sourde colère de Jackie devant la malé­dic­tion des Kennedy – « Mes enfants sont des cibles de premier plan ! » – et son choix d’épou­ser l’ar­ma­teur Aris­tote Onas­sis, qui la cour­ti­sait de longue date, pour échap­per aux Etats-Unis. Un vrai scan­dale ! La veuve natio­nale s’acoqui­nant au Grec cousu d’or, à celui que Bobby consi­dé­rait comme « une crapule de grande enver­gure », un homme âgé de vingt-trois ans de plus qu’elle ! Cette fois, c’est à l’op­probre média­tique que Caro­line, qui entrait dans l’ado­les­cence, dut se confron­ter. Même si la mère et la fille ne faisaient, aux dires de leurs amis, « qu’une seule et même âme », il n’était pas facile de gran­dir à l’ombre de cette icône du siècle hyper­gla­mour qu’é­tait Jackie.

Beau­coup plus secrète et réser­vée, Caro­line avait vécu depuis l’en­fance flanquée d’agents du Secret Service, n’échap­pant que de justesse à des désaxés ou à un sanglant atten­tat à la bombe à Londres. Elle rêvait de se fondre dans une vie normale, loin de tout battage média­tique. Elle va enfin pouvoir y croire, le temps d’une trêve, quand elle rencontre l’amour. Le jour de son mariage, en 1986, avec Edwin Arthur Schloss­berg, un intel­lec­tuel et artiste juif de douze ans son aîné, qui, comme elle, a étudié dans les univer­si­tés les plus huppées de la côte Est, tout le clan est à Hyan­nis Port, dans la plus pure tradi­tion des noces Kennedy, et Caro­line, somp­tueuse dans sa robe d’or­ganza, doit rete­nir ses fous rires pendant la céré­mo­nie. « Toute notre vie, il n’y a toujours eu que nous trois : ma mère, Caro­line et moi. Aujourd’­hui, nous sommes quatre », dira John, en portant un toast au marié.

Pendant quelques années, le couple va couler des jours tranquilles à New York, avec ses trois enfants – Rose, Tatiana et John. Et l’on verra souvent l’ex-First Lady – deve­nue Grand Jackie, une vraie mamie gâteau – prome­ner les pous­settes avec Caro­line à Central Park, quand elles ne vont pas nager ou pêcher dans la lumi­neuse propriété de Martha’s Vineyard. Très Kennedy dans le sang, la fille de JFK s’in­ves­tit alors avec son frère dans les projets qui ont trait à la dynas­tie : elle, au conseil d’ad­mi­nis­tra­tion de la Kennedy Library ; lui, à la John F. Kennedy School of Govern­ment de Harvard.

Mieux : Caro­line décide de créer avec la Fonda­tion Kennedy un prix annuel pour récom­pen­ser les quali­tés de leader et de géné­ro­sité vantées par JFK dans son livre Profiles in Courage, lauréat du prix Pulit­zer en 1956. Très encou­ra­gée par Jackie, deve­nue éditrice chez Double­day, elle va aussi se lancer dans l’écri­ture, avec succès. Passion­née par son inves­tis­se­ment, Caro­line ne verra pas venir le cancer galo­pant – un lymphome non hodg­ki­nien – qui, le 19 mai 1994, emporte bruta­le­ment sa mère, à l’âge de soixante-quatre ans. Anéan­tie, blot­tie contre son frère, elle conduira le cercueil de Jackie, recou­vert de fougères et de lys, au cime­tière d’Ar­ling­ton, à Washing­ton, pour qu’elle repose auprès de JFK. Mais le pire est encore à venir. Cinq ans plus tard, le 17 juillet 1999, Caro­line est en vacances avec ses enfants dans l’Idaho, quand son frère John, trente-neuf ans, s’abîme dans l’océan aux commandes de son Piper Sara­toga, avec ses passa­gères, son épouse Caro­lyn Bessette et sa belle-sœur Lauren. Elu par le maga­zine People comme « l’homme le plus sexy des Etats-Unis », il portait tous les espoirs poli­tiques du clan. Encore une fois, alors que le président Clin­ton comman­dite des recherches d’en­ver­gure, et que le monde entier, consterné, évoque « la malé­dic­tion Kennedy », Caro­line parvient à garder ce self-control impres­sion­nant qui, dans les moments de crise, faisait la fierté de sa mère. Mais à quel prix ! Elle qui a toujours protégé son turbu­lent petit frère comme « son bébé » aura le courage de disper­ser ses cendres sur la mer, sans pleu­rer, alors que cette dernière brûlure du destin consume ses forces.

Atteinte de crises aiguës de poly­ar­thrite rhuma­toïde – une mala­die autoim­mune incu­rable qui l’han­di­cape dans son travail –, elle va voir son couple se défaire et son mari Ed s’éloi­gner. Aujourd’­hui, seule héri­tière d’une famille qui a fait la gloire de l’Amé­rique, Caro­line en est aussi la mémoire vivante. Tête haute et sourire aux lèvres, quoi qu’il advienne, comme toutes les femmes Kennedy. Auprès de son oncle Ted, décédé depuis d’une tumeur au cerveau, et de sa cousine Maria Shri­ver, elle a soutenu avec ferveur la candi­da­ture de Barack Obama.

Qui le lui rend des années plus tard en la nommant, contre l'avis de ses conseillers, ambas­sa­drice des Etats-Unis au Japon malgré son inex­pé­rience poli­tique. Voilà «sweet Caro­line» rattra­pée par son destin.

Elle sait qu’elle tient enfin là l’oc­ca­sion de montrer au monde et aux siens qu’elle est bien de la race des Kennedy et que, comme chez eux, le feu sacré de la poli­tique brûle en elle. Le pari est risqué. Caro­line connaît peu l’em­pire du Soleil levant et presque rien au jeu complexe qui se noue en Extrême-Orient où son pays compte bien occu­per une place primor­diale dans les années à venir.

«La poli­tique est un maré­cage où l’on ne s’avance pas en escar­pins», lui répé­tait sa mère Jackie, afin de l’ex­hor­ter à rester loin de la violence de ce monde impi­toyable. Mais comme pour ses ancêtres avant elle, le virus de la poli­tique s’est fina­le­ment imposé. A cinquante-deux ans, mère de trois enfants – Rose (vingt-trois ans), Tatiana (vingt-et-un ans), et John (dix-huit ans) – , Caro­line veut marquer le monde de son empreinte, se sentir utile, être plus et mieux qu’une héri­tière à la tête d’une fortune esti­mée à plus de 75 millions d’eu­ros.

 
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  Lien vers ce message 09 Novembre 2014, 17:11
Jacqueline Bouvier Kennedy-Onassis

Jacqueline Lee Bouvier épouse Kennedy, puis Onassis,
surnommée « Jackie », née le 28 juillet 1929 à Southampton et
décédé le 19 mai 1994 à New York, est une personnalité américaine.
Naissance : 28 juillet 1929, Southampton, État de New York, États-Unis
Décès : 19 mai 1994, Manhattan, New York, État de New York, États-Unis
Taille : 1,70 m
Époux : Aristote Onassis (m. 1968–1975), John Fitzgerald Kennedy (m. 1953–1963)
Enfants : Caroline Kennedy, John Fitzgerald Kennedy, Jr.,
Arabella Kennedy, Patrick Bouvier Kennedy
Frères et sœurs : Lee Radziwill, Janet Auchincloss Rutherfurd, James Lee Auchincloss
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Jacqueline Bouvier est le nom de deux personnalités connues sous une autre identité :
Jacqueline Pagnol (née en 1920), Jacqueline Bouvier à l'état civil, actrice française,
épouse de l'écrivain, cinéaste et académicien français Marcel Pagnol ;
Jacqueline Kennedy Onassis (1929-1994), née Jacqueline Lee Bouvier
(fille de John Vernou Bouvier III et de Janet Norton Lee), successivement épouse :
en premières noces, de 1953 à 1963, du président John Fitzgerald Kennedy (1917-1963),
ce qui lui valut, de 1961 à 1963, le qualificatif de « Première dame » des États-Unis,
en secondes noces, de 1968 à 1975, du milliardaire grec Aristote Onassis (1906-1975).


Plus connue sous le nom de Jackie Kennedy, Jacqueline Kennedy suit un cursus académique
réussi et épouse successivement deux hommes célèbres : le président John Fitzgerald Kennedy,
et le milliardaire grec Aristote Onassis. Tantôt femme publique par son statut,
tantôt femme discrète pour sa vie familiale,
Jackie Kennedy a vécu dans un monde de richesse, de sport, d’amour, de politique,
de presse et de mode.
Jacqueline Kennedy, enfant favorisée et étudiante brillante
Jacqueline Lee Bouvier est née le 28 juillet 1929 à Southampton,
aux États-Unis. Elle est issue d’une riche famille catholique, d’origine anglaise et irlandaise.

Jacqueline Bouvier reçoit une éducation exemplaire en fréquentant
successivement diverses institutions prestigieuses de New York à Paris puis Washington.
Elle obtient un diplôme en littérature française en 1951 et maîtrise
parfaitement plusieurs langues.

L’équitation, qu’elle pratique dès sa petite enfance, les arts et la culture
française sont ses autres passions. Certains des essais qu’elle écrit sont publiés dans
des journaux et elle participe à des concours d’écriture. Elle a d’ailleurs eu la
première place à un concours littéraire organisé par le magazine Vogue devançant près
de 1300 candidates. Son ambition était alors de devenir éditrice.
Elle décroche un emploi de photographe enquêteur au journal Washington Times-Herald en
1952 et commence à côtoyer les hautes personnalités de la scène politique américaine.
Jacqueline Kennedy, la Première Dame
Jacqueline Lee Bouvier rencontre en mai 1952 le démocrate John Fitzgerald Kennedy
par l’intermédiaire d’un journaliste et ami commun lors d’une soirée mondaine.
Ils se marient le 12 septembre 1953.
Leurs premières tentatives de fonder une famille se soldent par des échecs traumatisants.
Ils donnent finalement naissance à Caroline Bouvier Kennedy en 1957 et à
John Fitzgerald Kennedy Jr en 1960. La même année, alors qu’elle est enceinte de
John Jr, Jacqueline Kennedy contribue activement à l’accession de son époux
à la Maison Blanche par le biais d’articles et d’entretiens télévisés.
Son mari prête serment en tant que 35e président le 20 janvier 1961 et
Jacqueline Kennedy fait ainsi partie des plus jeunes premières dames de l’histoire des États-Unis.

Appelée dès lors Jackie Kennedy, elle entreprend, pour marquer sa vie de première dame,
des travaux titanesques pour la restauration de la Maison Blanche. La Maison Blanche devient
en 1961 monument national à la suite de la ratification d’une loi au Congrès.
Durant le mandat de son mari, Jackie Kennedy s’écarte de la vie politique et
préserve sa famille des regards indiscrets de la presse.
Fortement marquée par le mode de vie parisienne et le « chic » français,
Jackie Kennedy s’habille élégamment avec les créations de grands couturiers
tels que Coco Channel, Givenchy ou Christian Dior. Elle devient le modèle des
femmes de la haute société tant par sa façon de s’habiller que par ses
bijoux, dont le célèbre collier de perles de verre noir vendu plus tard aux enchères.
En tant que femme digne, Jackie Kennedy ne laisse pas transparaître
ses émotions lors des funérailles du président assassiné le 22 novembre 1963 à Dallas.
Jacqueline Kennedy et sa vie amoureuse tumultueuse
À la disparition de son mari, Jackie Kennedy se retire de la vie
publique afin de protéger les siens.
Ses apparitions se limitent alors aux inaugurations de mémoriaux dédiés à son défunt mari.
Robert Kennedy, le frère du Président, était très lié à sa belle sœur qui
entretenait de son côté une relation avec le richissime armateur grec Aristote Onassis
rencontré quelques années auparavant par le biais de sa sœur cadette
Lee Radziwill. Le 20 octobre 1968, Jackie convole en secondes noces avec le Grec,
lequel met un terme à sa relation amoureuse avec la cantatrice Maria Callas.
Aristote Onassis décède le 15 mars 1975, alors qu’il se préparait à demander le divorce.
Outre son métier d’éditeur et de promoteur d’auteurs de livres,
Jacqueline Kennedy Onassis est la concubine du Belge Maurice Tempelsman
jusqu’à sa mort le 19 mai 1994.
Un don pour les relations publiques
Tout au long de sa vie, Jacqueline Kennedy, côtoie les grands de ce monde,
en marge du clan Kennedy, comme le Pape Jean XXIII, le Général de Gaulle,
le Président pakistanais Muhammad Ayub Khan, l’impératrice iranienne Farah Pahlavi
. Des personnalités importantes comme Bill et Hillary Clinton,
ainsi que Lady Bird Johnson ont assisté à ses funérailles.

Skorpios. La fin du rêve d’Onassis
Jusqu’au début des années 60, Skorpios n’était qu’un bout de terre aride, un des nombreux grains
de beauté de la mer Ionienne. Puis Skorpios rencontra Aristote Socrate Onassis. L’armateur est alors
à la tête d’un empire : une flotte de supertankers, une compagnie aérienne, des intérêts
dans une centaine de sociétés, des propriétés à Paris, Athènes, Manhattan et Monte-Carlo, deux enfants,
Alexandre et Christina, une ex-femme, Tina, issue d’une grande famille d’armateurs,
une collection de maîtresses, dont Maria Callas, la préférée. Mais cela ne lui suffit pas.
En croisière sur la mer Ionienne, il jette l’ancre près de Skorpios, qui ne propose pour
toute attraction qu’une chapelle, une étable et un pressoir à olives. « Pourquoi nous arrêtons-nous ici ?
 » lui demande sa sœur aînée Artemis, qui est du voyage. « J’aime cet endroit »,
lui répond-il simplement. Il a déjà une idée en tête, expliquera Artemis des années plus tard :
« Il avait toujours rêvé qu’un jour, une fois devenu riche, une fois devenu quelqu’un,
il accomplirait quelque chose d’unique au monde. »
Pour amadouer les habitants de l’île voisine, il convainc la Callas de chanter sur la place du village
Les dieux de la mythologie grecque avaient leurs îles, Onassis voulait la sienne.
Il achète Skorpios pour 3,5 millions de drachmes, l’équivalent de 12 000 euros,
une bouchée de pain. L’île n’a pas de point d’eau, ni de routes. Il faudra à
l’armateur cinq ans pour la modeler selon ses rêves. Pour amadouer les habitants d’une île
voisine, qui lui refusent l’accès à l’eau douce, il convainc la Callas de donner un récital
sur la place du village. Il fait venir du sable par bateau pour créer des plages, et plus
de 200 espèces de plantes et d’arbres pour métamorphoser ce bout de terre aride en luxuriante oasis.
Il veut manger les produits de sa terre, alors il installe une ferme, avec des
moutons, des chèvres, des poules, et des vaches à qui l’on diffuse de la musique
classique – c’est excellent pour le lait, paraît-il.
L’étable devient « la maison rose », la résidence des invités de marque.
Il fait construire deux autres villas, un bâtiment pour le personnel, des bungalows sur les plages.
Mais Onassis veille à ne pas dénaturer la beauté sauvage de l’île. Si son yacht
« Christina » est un concentré de ce que l’on n’appelle pas encore le bling-bling,
le luxe de Skorpios n’a pas de prix : la nature, la mer, le ciel et le silence.
Quand sa fille se plaint que les chemins ne sont pas assez éclairés la nuit, il lui lance :
« Si tu veux des -lumières, tu n’as qu’à aller à Broadway. » Sur le « Christina O. »
, il organise de somptueuses fêtes, mais à Skorpios le jet-setteur veut vivre simplement,
à la grecque. A Pâques, on fait rôtir un agneau entier sur la plage. Dès que ses affaires
le lui permettent, Onassis s’échappe vers son royaume, en un coup d’hydravion.
Il lance une mode : tous les riches de la planète se mettent à rêver de la
possibilité d’une île – privée, bien entendu.
http://img15.hostingpics.net/pics/691934SurleyatchChristinajusteapresleurmariageen1968insidefullcontentpmv8.jpg
Sur le yatch “Christina”, juste après leur mariage en 1968
C’est là, dans la petite chapelle, qu’Onassis épouse Jackie Bouvier Kennedy, le 20 octobre 1968. Skorpios est son cadeau de mariage, bien plus importante aux yeux de Jackie que la bague au diamant de 40 carats qu’il lui a offerte. Depuis l’assassinat de Bobby Kennedy, la veuve de JFK craint pour sa vie et celle de ses enfants. La fortune d’Onassis et son île privée lui offrent la paix et la tranquillité. Caroline et John-John restent scolarisés aux Etats-Unis, mais ils viennent passer chaque été sur l’île d’« Aristo ».

« Je veux mourir à Skorpios et être enterré ici »
« Jackie O. » préfère cent fois Skorpios à Glyfada, la propriété principale des Onassis, qu’elle trouve prétentieuse. Sur l’île, elle nage et paresse au soleil, en Bikini, ou même parfois en tenue d’Eve. Onassis l’encourage à décorer les villas selon son goût, simple et chic. L’armateur a réalisé son rêve : créer son paradis sur terre.
« C’est à ce moment-là, une fois que l’île était enfin prête, complètement aménagée,
que les morts ont commencé », dit sa sœur Artemis.
Le 22 janvier 1973, Alexandre, le fils d’Onassis, celui qui devait un jour prendre la tête de l’empire, se tue aux commandes de son avion, à 24 ans. Le patriarche est fou de douleur. Il fait enterrer Alexandre à Skorpios, près de la chapelle. Désormais, la famille ne dort plus sur l’île, mais rentre chaque soir sur le « Christina ». Une fois ses invités assoupis, Onassis quitte le yacht. « Tous les soirs, il allait à la chapelle pour y déposer des fleurs, allumer des bougies et parler à Alexandre, des heures durant, racontait Artemis. Ça a duré un mois, jusqu’à ce qu’un de ses amis lui dise : “Tu peux faire ce que tu veux de ton âme, mais tu n’as pas le droit de tourmenter celle de ton fils.”» Onassis espace ses visites nocturnes, mais il répète à sa sœur aînée : « Je veux mourir à Skorpios, et je veux être enterré ici. »

Seul l’un de ses vœux sera exaucé. Le 15 mars 1975, Onassis meurt à Paris, mais c’est à Skorpios, sous une plaque de marbre blanc, qu’il va reposer. L’île, comme la moitié de la fortune de l’armateur, revient à Christina. La femme la plus riche du monde, comme on la présente alors, enchaîne dépression, addictions et mariages ratés. Pour tromper son spleen, elle organise de grandes fêtes à Skorpios, et fait creuser une piscine, ce que son père avait toujours refusé. Comme pour effacer toute trace de Jackie, qu’elle rendait responsable des malheurs de son père, la jeune femme demande à deux artistes grecs d’apporter aux intérieurs des villas une touche plus locale. Mais Christina ne tient pas en place, toujours entre Paris, New York ou Buenos Aires. Quand elle n’est pas à Skorpios, Artemis, la sœur d’Onassis, qui apprécie l’endroit presque autant que son frère l’aimait – « Ici, on est à une respiration du ciel », disait-elle – s’y installe. A sa mort, en 1981, elle y est enterrée.

En 2007, lors de son dernier séjour en Grèce, Athina snobe l’île

En novembre 1988, Christina meurt d’un œdème pulmonaire en Argentine. Son corps est rapatrié en Grèce. Des centaines de bateaux accompagnent son cercueil jusqu’à Skorpios. La fille unique de Christina, Athina Onassis Roussel, n’a alors que 3 ans. Elevée en Suisse par son père, le Français Thierry Roussel, elle a été baptisée dans la petite chapelle de l’île. C’est son seul lien concret avec Skorpios. Quand elle en hérite, à 18 ans, elle ne s’y est rendue que trois ou quatre fois. Sa dernière visite, en 1998, pour une messe en la mémoire de sa mère, l’a terrifiée : des centaines de personnes l’attendaient telle une petite reine, voulaient la toucher, elle qui est si timide, et l’interpellaient en grec, une langue qu’elle ne parle pas.

Athina n’a plus remis les pieds sur l’île, mais elle dépense chaque année 1,5 million d’euros pour l’entretenir. Au début des années 2000, les Grecs se prennent à rêver de voir la dernière des Onassis revenir à Skorpios : en 2003, elle fait renouveler son passeport grec puis, en 2004, demande à concourir sous les couleurs de la Grèce lors des compétitions équestres. L’espoir fut de courte durée. Devenue Athina Onassis de Miranda, après avoir épousé le cavalier brésilien Alvaro Alfonso de Miranda Neto en 2005, elle snobe Skorpios lors de son dernier voyage en Grèce, en 2007. Depuis, les rumeurs de vente ne faisaient que s’amplifier.

Athina, qui vit aujourd’hui entre São Paulo et Bruxelles, n’a pas seulement échangé, contre une centaine de millions d’euros, un bout de terre, trois villas et un peu du ciel grec : elle a aussi vendu le tombeau de son grand-père, de son oncle, de sa grand-tante et de sa mère. Les plus superstitieux s’interrogent : sa décision est-elle liée au grave accident de cheval qui, en novembre 2012, l’avait laissée avec de sérieuses blessures à la colonne vertébrale ? En se débarrassant de Skorpios, la jeune femme espère peut-être rompre avec la « malédiction Onassis ». Dans tous les cas, la cavalière semble s’être bien remise de sa chute. Lors de son dernier concours équestre, à Palm Beach, le 30 mars, elle s’est classée troisième.

Reste un mystère : le testament d’Aristote Onassis interdirait à ses héritiers de vendre Skorpios. L’armateur aurait stipulé que, si ses descendants se retrouvaient dans l’impossibilité d’entretenir l’île, elle devrait revenir à l’Etat grec. Si, à son tour, l’Etat ne pouvait gérer Skorpios, Onassis aurait souhaité que son île devienne un centre de vacances pour les enfants des employés de sa compagnie aérienne. Mais l’armée d’avocats qui a planché sur le contrat à Athènes, Londres, Genève, Bruxelles, Nicosie et au Luxembourg a probablement trouvé un moyen de contourner la dernière volonté d’Onassis…

Dans son communiqué laconique, la société de Dmitry Rybolovlev se félicite de l’achat de Skorpios et loue son « potentiel significatif d’aménagements supplémentaires, grâce à des technologies respectueuses de l’environnement ». Les Grecs ont vite décodé: il faut s’attendre à des changements d’envergure. Car la propriété était restée intouchée. Les derniers visiteurs racontent que, dans la villa, les photos de famille sont encore dans leurs cadres. La pelouse est tondue, la marina semble attendre de nouveaux bateaux. Près de la chapelle, les tombes sont fleuries chaque semaine. Jusqu’ici, Skorpios n’appartenait qu’à ses fantômes.


 
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  Lien vers ce message 11 Novembre 2014, 1:25
Publié le 03 novembre 2014
Hyundai-Kia: une amende de 100 millions pour avoir sous-estimé
la consommation Les constructeurs automobiles coréens Hyundai et Kia devront payer une
amende administrative de 100 millions $ US pour mettre fin à une enquête de deux ans sur
des autocollants apposés aux fenêtres de 1,2 million de voitures qui présentaient des
chiffres de consommation de carburant erronés.
La pénalité, annoncée lundi par le département américain de la
Justice et l'Agence de protection environnementale,
est la première imposée en vertu de nouvelles règles sur
la quantité limite de gaz à effet de serre émise par les voitures.
L'amende servira aussi de précédent dans la loi sur qualité de l'air, pour les constructeurs
automobiles qui exagèrent les chiffres sur le kilométrage parcouru par litre d'essence.
Le procureur général Eric Holder a indiqué que le règlement souligne la nécessité pour
les compagnies d'être honnêtes et de respecter les règles sur les émissions de CO2.

Les 1,2 million de véhicules touchés par le litige émettront environ 4,75 millions de tonnes
métriques de gaz à effet de serre de plus qu'initialement déclaré. Hyundai-Kia perdra donc
l'équivalent de 200 millions $ US en crédits de gaz à effet de serre. Ces crédits auraient
pu être vendus à d'autres constructeurs qui excédent les normes environnementales.

Hyundai-Kia doit aussi tester la performance de ses modèles actuels et
mandater un groupe indépendant pour certifier les résultats de ces tests,
ce qui lui coûtera environ 50 millions $ US.
Selon les autorités concernées, ces fausses représentations font concurrence
déloyale aux autres constructeurs, spécialement depuis que l'économie
d'essence est devenue un critère d'achat important pour les consommateurs.
«Cela fait pencher le marché en faveur de ceux qui ne respectent pas les règles
et cela désavantage
ceux qui les respectent. Ce n'est tout simplement pas juste, et c'est illégal»,
a fait valoir l'administratrice de l'Agence de protection environnementale, Gina McCarthy.

Hyundai et Kia, qui appartiennent tous deux à Hyundai, ont nié avoir enfreint la loi.
Hyundai soutient que l'erreur est due à la complexité de la loi américaine.
Les deux entreprises disent payer le montant pour mettre fin à l'enquête et éviter
tout litige potentiel.

[/size]
 
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  Lien vers ce message 02 Janvier 2015, 1:33
[align=center][size=20[Une jeune canadienne qui avait perdu son appareil photo lors d’un voyage
à Cuba avec ses copines en 2012 a retrouvé ses photos deux ans plus tard.

Emily Demello a eu la surprise de sa vie lorsqu’elle a reçu un curieux
message de la part d’un Cubain sur Facebook. Ce dernier disait
avoir trouvé l'appareil et vouloir lui envoyer ses souvenirs de voyage, rapporte CBS News
La jeune femme avait perdu sa caméra à l’épreuve de l’eau après avoir été frappée
par une immense vague sur la côte cubaine. Elle était convaincue d’avoir perdu
à jamais ses clichés.
Un plongeur cubain a retrouvé l’appareil endommagé par hasard la semaine dernière
et a extrait les images de la carte mémoire.
Le bon samaritain a réussi à trouver l’identité de la belle inconnue,
car elle avait photographié son billet d’avion.

Les Européens se jettent à l'eau froide en l'honneur de la nouvelle année
Environ 50.000 Néerlandais se sont précipités jeudi vers les eaux froides de la mer du Nord, tout comme des milliers d'Européens, afin de célébrer la nouvelle année qui commence.

A La Haye, lieu le plus populaire aux Pays-Bas pour ce traditionnel plongeon
du Nouvel An, 10.000 personnes, familles ou fêtards de la veille,
ont couru vers l'eau sur le coup de 12H00 (11H00 GMT).
Ils s'étaient réchauffés auparavant au son de musiques populaires,
comme la "Danse des canards", et ont bravé une eau à sept degrés.
La température extérieure était de quatre degrés mais, à cause d'un vent fort,
la température ressentie était proche de moins 1 degré, ont indiqué les organisateurs.
"Il ne fait pas si froid", assure à l'AFP Martijn, 30 ans, venu avec sa femme et
ses deux petites filles : "il faut juste bien se préparer et ne pas oublier ses chaussures!".
Tout d'orange vêtu, il a participé au plongeon pour la quatorzième fois consécutive:
"c'est une vraie tradition, cela permet de commencer l'année de manière fraîche et
de mettre en pratique tout de suite ses bonnes résolutions".
A travers l'Europe, le plongeon du Nouvel An attire également les foules.
A Genève, une cinquantaine de personnes se sont baignées dans le lac Leman
tandis qu'à Rome, ils plongeaient tête la première dans les eaux du Tibre.
En Irlande du Nord, ou en France, nombreux de ceux qui avaient bravé le
froid étaient déguisés, notamment en super-héros, en Obélix ou en costumes de Noël.
Les Allemands ont également plongé à l'eau, profitant par la suite, notamment à Hemfurth,
dans le centre du pays, de bons bains chauds avant de rentrer chez eux
se reposer pour affronter 2015.


Machine à sous : il décroche la timbale avec trois pièces de 20 centimes !
Un jeune homme a fini l'année en beauté en décrochant un demi-million d'euros sur
une machine à sous du casino Barrière de La Rochelle avec seulement 60 centimes de
mise en jeu, a-t-on appris mercredi auprès de la direction de l'établissement.
Après avoir inséré trois pièces de vingt centimes dans la machine, le jeune homme,
âgé "d'environ 25 ans", selon le directeur général du casino, Christophe Jourdain,
a gagné exactement 519.956 euros.
"Il ne réalisait pas. Il était comme groggy, submergé par l'émotion et arrivait
à peine à parler", a raconté à l'AFP M. Jourdain.
Cette somme est le plus important montant jamais gagné au casino de La Rochelle.
Le directeur général a indiqué qu'en 2014, plus de 43 millions d'euros de gains,
soit environ 120.000 euros par jour, ont été reversés aux clients de son casino.
Quelque 250.000 personnes poussent annuellement les portes de ce casino pour
jouer aux jeux de table, poker et aux bandits manchots (machines à sous),
qui ont des taux de redistribution de plus de 93%.

Hong Kong : près de 2 millions de dollars sur la chaussée, la foule en folie
La porte d'un fourgon s'est ouverte sur une avenue fréquentée, créant une ruée vers les dollars hongkongais. Seule une partie de l'argent a été récupérée.
Des caisses contenant près de 2 millions de dollars en billets de banque se sont échappées
mercredi à Hong Kong d'un fourgon blindé dont la portière était malencontreusement ouverte,
suscitant une ruée frénétique des piétons et des automobilistes qui ont voulu profiter
de cette manne. La circulation s'est même arrêtée sur la route de Gloucester dans le
centre de Hong Kong lorsque les chauffeurs de taxi se sont rués hors de leur véhicule
pour s'emparer des centaines de billets de banque éparpillés sur cette voie très fréquentée.
En tout, plus de 15,23 millions dollars de Hong Kong (1,96 million de dollars) se sont
retrouvés sur la chaussée, selon la police. Il était toutefois impossible d'évaluer la
quantité d'argent liquide que les policiers ont réussi à récupérer, et celle récupérée
par les passants et automobilistes. "Toute personne qui trouvera les billets de banque
en question devra les restituer à la police dès que possible, dans le cas contraire
elle commettra un vol", a averti la police dans un communiqué.

Le Japon touché par une pénurie de frites
Le Japon est plongé en pleine crise de la pomme de terre. Depuis quelques jours,
le géant des fast-foods McDonald's rationne les frites dans ses restaurants.
Impossible de commander une grande frite. Désormais, dans l'archipel,
chaque menu s'accompagne d'une petite barquette.
Si les Japonais n'ont plus la frite, c'est un drôle d'effet papillon qui en est
la cause. C'est en effet un mouvement social dans des ports américains qui
est à l'origine de cette pénurie.
Un défaut d'approvisionnement en frites qui fragilise encore davantage la filiale
japonaise de la chaîne de fast-food. Plus tôt dans l'année, McDo a déjà
été privé de viande de poulet, à la suite de manquements
sanitaires d'une usine chinoise.

 
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