Reprise du dernier message
Le copilote a volontairement détruit l'avion
Air Transat maintiendra deux personnes dans le cockpit
Un Allemand de 28 ans sans histoire
Les trente minutes avant l'écrasement
Air Transat maintiendra deux personnes dans le cockpit
Un Allemand de 28 ans sans histoire
Les trente minutes avant l'écrasement
Le procureur de Marseille a divulgué la retranscription des trente dernières minutes avant l'écrasement de l'appareil de Germanwings qui a fait 150 morts.
•Durant les 20 premières minutes, Brice Robin relate que les échanges étaient
«courtois» et «enjoués».
•Par la suite, le commandant à bord prépare le briefing pour l'atterrissage Ã
Düsseldorf en Allemagne et les réponses du pilote semblent laconiques,
souligne le procureur.
•On entend le pilote demander au copilote de prendre les commandes de l'appareil.
«On entend le bruit d'un siège qui recule et d'une porte qui se ferme». À ce moment,
le copilote est seul aux commandes.
•«C'est à ce moment que le copilote actionne le «Flight monitoring system»
pour actionner la descente de l'avion. L'action du sélectionneur ne peut qu'être volontaire»
•Le pilote tente de revenir et demande l'accès à la cabine. Il tape sur la porte et
il n'obtient aucune réponse du copilote. Le bruit d'une respiration se fait entendre Ã
l'intérieur de la cabine.•«Nous entendrons un bruit de cette respiration humaine
jusqu'à l'impact final. Nous pensons que le copilote était vivant»
•Les contacts de la tour de contrôle de Marseille se font entendre, mais aucune réponse
du copilote.•Les contrôleurs aériens demandent de faire le code de détresse du transpondeur.
Aucune réponse. «Cet avion devient prioritaire par rapport aux autres avions»,
affirme M. Robin.•Des alarmes se sont déclenchées pour avertir les pilotes qu'ils
s'approchaient du sol. «On entend des coups portés sur la porte pour la défoncer».
•Juste avant l'impact, on entend un premier impact sur un talus. «Aucun message d'urgence
n'a été entendu par les contrôleurs aériens. Aucune réponse aux appels des
contrôleurs aériens»•L'interprétation est que le copilote, de façon volontaire,
a refusé d'ouvrir la porte au copilote et a commandé le bouton actionnant la perte d'altitude.
•«En huit minutes, il est parti de 12 à 15 000 mètres à près de 2000 mètres
d'altitude. La montagne qu'il a percutée se situe entre 1500 et 2000 mètres».
Une dame sauvée par sa livreuse
Sonia Dionne travaille comme livreuse pour le restaurant Horace au Boulevard à Drummondville.
La femme de 42 ans a un grand cœur et adore son travail.
Il y a une dizaine de jours, guidée par sa bienveillance, elle a probablement sauvé la vie de Thérèse Turcotte.
La dame est une cliente régulière et se fait livrer un repas presque quotidiennement.
La dame d'une soixantaine d'années vit seule; elle n'a aucun proche pour veiller sur elle.
Il y a quelques semaines, lors d'une livraison, Sonia Dionne avait remarqué que la santé de Mme Turcotte laissait à désirer. Elle lui avait même offert d'appeler Info-Santé pour lui avoir
de l'aide médicale. Cette dernière disait avoir fait une vilaine chute et que ça
allait se replacer.
Il s'est écoulé quelques jours sans que la livreuse ait de ses nouvelles.
C'est à ce moment que Sonia Dionne s'est mise à s'inquiéter.
«Je demandais au personnel du restaurant si Mme Turcotte avait appelé pour se faire
livrer un repas. Chaque fois, je me faisais répondre par la négative.»
Un dimanche soir qu'elle travaillait, une petite voix intérieure lui a dit que ce n'était
pas normal.
«Entre deux livraisons, j'ai décidé d'aller voir chez elle. J'ai frappé, mais je n'ai obtenu
aucune réponse. Je me suis informée auprès des voisins qui me disaient ne pas l'avoir vu
depuis quelques jours. J'ai aussitôt appelé les policiers. Quand ils ont réussi à pénétrer
à l'intérieur, elle était allongée au sol en détresse respiratoire. Les ambulanciers l'ont
pris en charge pour la conduire à l'hôpital. Je suis vraiment contente de la savoir saine
et sauve même si son état nécessite encore son hospitalisation», explique Sonia
Cette dernière lui rend visite tous les deux jours à l'hôpital depuis les événements qui
remontent au 15 mars.
«Les agents correctionnels n'ont pas fait leur job»
Incendie monstre dû au gaz à New York
Un léopard dans un arbre secouru par les pompiers
Il se rase la barbe pour berner les policiers
Le cardinal Jean-Claude Turcotte aux soins palliatifs
Francis Boucher s'est rendu aux policiers
30 livres de perdues pour le maire Coderre
Perquisitions au domicile du copilote
Les enquêteurs allemands ont perquisitionné jeudi soir dans l'ouest de l'Allemagne aux deux
domiciles du copilote de l'avion de Germanwings, soupçonné d'avoir volontairement
précipité l'appareil sur une montagne mardi matin, a annoncé le parquet de
Düsseldorf (nord-ouest).
«Les perquisitions concernent aussi bien l'appartement du copilote à Düsseldorf
que son logement à Montabaur», où le suspect, Andreas Lubitz, âgé de 28 ans, vivait
une partie du temps chez ses parents, a indiqué à l'AFP le procureur Ralf Herrenbrück
Vers 19h45 GMT, les enquêteurs ont mis fin à leur perquisition dans son logement de Montabaur,
ville de 12 500 habitants située entre Düsseldorf et Francfort, a constaté un
journaliste de l'AFP.
•Durant les 20 premières minutes, Brice Robin relate que les échanges étaient
«courtois» et «enjoués».
•Par la suite, le commandant à bord prépare le briefing pour l'atterrissage Ã
Düsseldorf en Allemagne et les réponses du pilote semblent laconiques,
souligne le procureur.
•On entend le pilote demander au copilote de prendre les commandes de l'appareil.
«On entend le bruit d'un siège qui recule et d'une porte qui se ferme». À ce moment,
le copilote est seul aux commandes.
•«C'est à ce moment que le copilote actionne le «Flight monitoring system»
pour actionner la descente de l'avion. L'action du sélectionneur ne peut qu'être volontaire»
•Le pilote tente de revenir et demande l'accès à la cabine. Il tape sur la porte et
il n'obtient aucune réponse du copilote. Le bruit d'une respiration se fait entendre Ã
l'intérieur de la cabine.•«Nous entendrons un bruit de cette respiration humaine
jusqu'à l'impact final. Nous pensons que le copilote était vivant»
•Les contacts de la tour de contrôle de Marseille se font entendre, mais aucune réponse
du copilote.•Les contrôleurs aériens demandent de faire le code de détresse du transpondeur.
Aucune réponse. «Cet avion devient prioritaire par rapport aux autres avions»,
affirme M. Robin.•Des alarmes se sont déclenchées pour avertir les pilotes qu'ils
s'approchaient du sol. «On entend des coups portés sur la porte pour la défoncer».
•Juste avant l'impact, on entend un premier impact sur un talus. «Aucun message d'urgence
n'a été entendu par les contrôleurs aériens. Aucune réponse aux appels des
contrôleurs aériens»•L'interprétation est que le copilote, de façon volontaire,
a refusé d'ouvrir la porte au copilote et a commandé le bouton actionnant la perte d'altitude.
•«En huit minutes, il est parti de 12 à 15 000 mètres à près de 2000 mètres
d'altitude. La montagne qu'il a percutée se situe entre 1500 et 2000 mètres».
Une dame sauvée par sa livreuse
Sonia Dionne travaille comme livreuse pour le restaurant Horace au Boulevard à Drummondville.
La femme de 42 ans a un grand cœur et adore son travail.
Il y a une dizaine de jours, guidée par sa bienveillance, elle a probablement sauvé la vie de Thérèse Turcotte.
La dame est une cliente régulière et se fait livrer un repas presque quotidiennement.
La dame d'une soixantaine d'années vit seule; elle n'a aucun proche pour veiller sur elle.
Il y a quelques semaines, lors d'une livraison, Sonia Dionne avait remarqué que la santé de Mme Turcotte laissait à désirer. Elle lui avait même offert d'appeler Info-Santé pour lui avoir
de l'aide médicale. Cette dernière disait avoir fait une vilaine chute et que ça
allait se replacer.
Il s'est écoulé quelques jours sans que la livreuse ait de ses nouvelles.
C'est à ce moment que Sonia Dionne s'est mise à s'inquiéter.
«Je demandais au personnel du restaurant si Mme Turcotte avait appelé pour se faire
livrer un repas. Chaque fois, je me faisais répondre par la négative.»
Un dimanche soir qu'elle travaillait, une petite voix intérieure lui a dit que ce n'était
pas normal.
«Entre deux livraisons, j'ai décidé d'aller voir chez elle. J'ai frappé, mais je n'ai obtenu
aucune réponse. Je me suis informée auprès des voisins qui me disaient ne pas l'avoir vu
depuis quelques jours. J'ai aussitôt appelé les policiers. Quand ils ont réussi à pénétrer
à l'intérieur, elle était allongée au sol en détresse respiratoire. Les ambulanciers l'ont
pris en charge pour la conduire à l'hôpital. Je suis vraiment contente de la savoir saine
et sauve même si son état nécessite encore son hospitalisation», explique Sonia
Cette dernière lui rend visite tous les deux jours à l'hôpital depuis les événements qui
remontent au 15 mars.
«Les agents correctionnels n'ont pas fait leur job»
Incendie monstre dû au gaz à New York
Un léopard dans un arbre secouru par les pompiers
Il se rase la barbe pour berner les policiers
Le cardinal Jean-Claude Turcotte aux soins palliatifs
Francis Boucher s'est rendu aux policiers
30 livres de perdues pour le maire Coderre
Perquisitions au domicile du copilote
Les enquêteurs allemands ont perquisitionné jeudi soir dans l'ouest de l'Allemagne aux deux
domiciles du copilote de l'avion de Germanwings, soupçonné d'avoir volontairement
précipité l'appareil sur une montagne mardi matin, a annoncé le parquet de
Düsseldorf (nord-ouest).
«Les perquisitions concernent aussi bien l'appartement du copilote à Düsseldorf
que son logement à Montabaur», où le suspect, Andreas Lubitz, âgé de 28 ans, vivait
une partie du temps chez ses parents, a indiqué à l'AFP le procureur Ralf Herrenbrück
Vers 19h45 GMT, les enquêteurs ont mis fin à leur perquisition dans son logement de Montabaur,
ville de 12 500 habitants située entre Düsseldorf et Francfort, a constaté un
journaliste de l'AFP.