Bonsoir Jean Pierre,
Il est au Québec 20H40, et il pleut. Et oui, cela arrive quelques
fois même en hiver. Alors, là c'est le verglas.
Dites-moi Jean Pierre, vous avez placé un bel Avatar à votre nom.
Il semble bien vous définir, homme solitaire ou accompagné,
marchant droit dans la nature.
Vous allez faire un beau et bon petit vieux en pleine santé, mon ami.
Garder la forme, c'est important.
Si vous le permettez, je vais vous parler brièvement de ma petite famille.
Nous n'avons qu'un seul fils. Il aura en octobre prochain, 45 ans. Déjà ,
comme le temps passe. Nous avons aussi deux petites filles. L'aînée,
Maxime au féminin, a 14 ans et la cadette, Florence a 10 ans. Leur maman
s'appelle, Véronique. Ils habitent dans Lanaudière, une petite ville du nom
de Lachenaie. Voilà , pour la famille. C'est pas très compliqué.
Vous vous êtes laissez bercer par Plume, Nostalgie et Marie-Gin, quelle délice
n'est-ce pas. C'est vrai ce que vous dites, les mots touchent parfois l'intimité,
la profondeur de l'âme et du coeur. Alors les paroles deviennent superflus. Il faut
laisser couler les mots et s'en imprégner.
Je vous aime bien, quand vous commencez à délirer. C'est très flatteur.
Je vous remercie de m'avoir emmener avec vous, en pensée. Je dois vous dire
que je sens encore la douce fraîcheur du vent.
Une église du 12e siècle. Je ne suis pas si vieille que cela quand même, mon ami.
Oh ! Je vous taquine ...
Un lieu de rassemblement, un lieu de ressourcement, un lieu de paix, ça j'aime bien.
Savez-vous ce que je vais faire, je vais mettre les paroles de votre chanson
préférée de Jean Ferrat, Au coin du petit Bonheur. Cela pourrait être comme
un Coucou d'Amour et d'Amitié, pour les gens qui viendront la lire.
Oui, juste pour le plaisir, sans rien demander.
Vous voyez comme les mots, rassemblent.
Je vous fais la bise.
Bonne et belle journée mon ami.
Douce
3 janvier