Reprise du dernier message
Agence France-Presse Après un combat judiciaire Il épouse son ex-belle-mère
Un ex-beau fils et son ex-belle mère, qui ont bataillé pendant des mois
devant la justice et jusqu'à l'Élysée pour avoir le droit de se marier, devaient finalement
convoler samedi dans leur petit village de Moselle, a-t-on appris auprès des intéressés,
c'est le grand jour ! J'espère simplement que notre histoire pourra être utile à d'autres
couples dans notre situation, car je sais qu'il y en a un certain nombre»,
a dit à l'AFP la mariée, Elisabeth Lorentz, 48 ans.
La justice avait longtemps empêché ce mariage au motif que Mme Lorentz a été précédemment mariée
avec le père de son compagnon actuel, Eric Holder, 45 ans. Ce dernier, né d'une précédente
union, n'a aucun lien de consanguinité avec sa compagne. Mais la loi interdit les unions
entre ascendants et descendants en ligne directe.
Le couple avait été plaider sa cause jusqu'à l'Élysée, mais n'avait obtenu en juin 2013
qu'un rappel de la loi qui interdit ce type de mariages, signé de la main de François Hollande.
En juin 2014, le couple a finalement obtenu du tribunal de Metz le droit de se marier. Le procureur,
qui s'y était opposé, n'a pas fait appel de cette décision.
Samedi, une centaine de personnes devaient assister au mariage, civil et religieux,
dans le petit village de Dabo, à la lisière de l'Alsace et de la Lorraine.
L'ex-époux de la mariée, qui est aussi le père du marié, sera présent.
«Il nous a toujours soutenus», souligne Mme Lorentz.
Ancien dictateur d'Haïti Beaucoup de réactions à la mort de Bébé Doc
La mort de l'ancien président haïtien Jean-Claude Duvalier, survenue samedi, a provoqué des
réactions mitigées partout dans le monde, en Haïti et au Québec.
Âgé de 63 ans, l'ancien dictateur surnommé «Bébé Doc» est mort d'une crise cardiaque à son
domicile de Port-au-Prince, samedi. Au moment de sa mort, il était poursuivi pour des
«crimes contre l'humanité» commis pendant sa dictature.
En tant que 41e président de la République d'Haïti, il a succédé en 1971 à son père,
l'ancien dictateur François «Papa Doc». Après 15 ans au pouvoir, il s'est exilé en
France en 1986 après une révolte populaire. Il est rentré dans son pays en janvier 2011.
«C'est une page de l'histoire haïtienne qui se tourne, la fin d'une époque», a dit en
entrevue le chanteur Luck Mervil. Ses parents ont immigré au Québec alors qu'il n'avait que
4 ans. «Ils cherchaient surtout à donner un meilleur avenir à leurs enfants. Ils ne fuyaient
pas spécialement le régime», a-t-il ajouté.
Le chanteur estime que, pour les Haïtiens qui sont installés depuis longtemps au Québec,
le régime Duvalier est un souvenir lointain. «Les gens qui n'ont pas été touchés directement
ont tendance à oublier, dit-il. Heureusement qu'il y a des films pour se rappeler.
C'est là qu'on comprend que les gens ne pouvaient pas sortir dans la rue sans risquer leur vie.»
Le chanteur a lui-même rencontré par hasard l'ancien dictateur à Paris, il y a quelques années.
L'homme politique, qui mangeait dans un grand restaurant, l'aurait reconnu et aurait discuté
quelques minutes avec lui. «Il avait l'air malade. On sentait que ça n'allait pas
bien du tout», a précisé Luck Mervil.
Employées et clientes flouées Une visite peu reposante au Spa Diamant
Mauvais traitements, annulations et difficultés à obtenir les soins pour
lesquels elles ont payé, les frustrations des clientes du Spa Diamond,
ou Diamant, sont nombreuses.Nathalie Verrette est l'une d'entre elles. Elle a acheté un
forfait de 200$ sur Groupon en novembre 2013, qu'elle a bonifié quelques mois plus tard.
«Je suis rendue à 950$ de frais et là -dessus, je n'ai eu que deux traitements complets»,
a raconté celle qui songe maintenant à faire partie d'un recours collectif.
Des clientes disent aussi avoir été brûlées. J.E. a obtenu copie d'une plainte déposée
l'an dernier à la Cour des petites créances. La propriétaire a été condamnée à payer 999$
plus intérêts. Une employée a aussi affirmé dans un entretien téléphonique que les
compagnies d'assurances refusent maintenant d'assurer, en raison des nombreux cas de brûlures.
Des chèques sans provision
Les employés ne sont pas au nirvana. Les jeunes professionnelles déplorent le haut taux de
roulement au sein des trois spas à l'Ile-Perrot, Dorval et Greenfield Park. Selon nos
informations, seul le spa de Greenfield Park serait toujours en activité. Les employées
rencontrées affirment avoir reçu des chèques sans provision, d'autres fabriqués avec
du correcteur liquide, et même des chèques en blanc.
«Je me disais : il faut qu'elle me fasse vraiment confiance pour me donner un chèque comme ça,
a raconté Melisa Gagnon une ex-employée. Dans le fond, elle savait que peu importe le
montant, il n'y avait pas d'argent.»Maude Ferguson-Girard subit encore les contrecoups de sa courte
carrière au spa Diamond : «En travaillant là un mois, mon nom a été sali, mes comptes
sont montés dans le rouge et ça m'a rendue dépressive».
Réaction de la propriétaire
L'équipe de J.E. a tenté de savoir où va tout cet argent et comprendre les déboires de ces
succursales. La propriétaire a accepté d'accorder une entrevue à la caméra, mais elle a
finalement annulé son rendez-vous à la dernière minute.
Liée à l'entérovirus D-68?Mystérieuse paralysie chez les enfants
Une mystérieuse maladie qui s'attaque uniquement aux enfants soulève à nouveau
l'inquiétude aux États-Unis. Vendredi, à Denver au Colorado, 11 enfants ont dû être
hospitalisés en raison de symptômes allants de l'évanouissement, jusqu'à la paralysie
partielle.Selon le réseau CNN, quatre enfants ont également eu ces mêmes symptômes,
mais à plus de 3000 km de là , à Boston.
Les médecins n'arrivent pas à mettre le doigt sur ce qui affecte les enfants.
En plus des symptômes liés à des faiblesses et de la paralysie, les experts ont
noté un dysfonctionnement du nerf crânien, et des anomalies de la moelle osseuse.
Si certains des enfants hospitalisés ont été testés positifs à l'entérovirus D-68,
d'autres enfants n'en avaient aucune trace dans le sang.
L'entérvirus D-68 s'est propagé rapidement sur l'ensemble du territoire américain
au cours des deux derniers mois, causant de sérieux problèmes respiratoires
à des enfants en bas âge. Un seul cas de mortalité a été rapporté.
Au Québec, l'hôpital Sainte-Justine a confirmé que des cas de D-68, ont été
enregistrés à Montréal, il y a trois semaines.
Saguenay
Ses cheveux brûlés par un coiffeur
Une dame de Saguenay a eu le cuir chevelu brûlé, en août dernier, après
qu'un coiffeur lui ait administré un traitement défrisant habituellement
réservé aux personnes noires.Une histoire révélée par Radio X qui
fait énormément réagir.
La dame en question a expliqué que les brûlures étaient si importantes que
ses cheveux ne repousseront pas à certains endroits.
Elle songe à entreprendre des procédures judiciaires contre le salon et son
coiffeur.La femme souhaite mettre en garde la population et invite les gens Ã
s'informer avant d'entreprendre ce genre de traitement
Vaccin contre la méningiteLes Saguenéens tardent à recevoir la 2e dose
Au Saguenay-Lac-Saint-Jean, les citoyens répondent en nombre nettement insuffisant Ã
l'appel des autorités médicales pour recevoir leur deuxième dose du vaccin contre la
méningite de type B, pourtant absolument nécessaire en vue d'une protection adéquate.
Lors de la première semaine de campagne au printemps dernier, 10 000 citoyens de la région
avaient reçu leur première dose, mais seuls 2300 d'entre eux se sont présentés
pour recevoir la deuxième, la semaine dernière.
«J'avais pris rendez-vous, mais j'étais toute seule. Il n'y avait personne»,
a expliqué une mère de famille.«Il faut atteindre notre objectif de 80% pour les deux doses.
Le défi est de taille, mais on ne baisse pas les bras et on continue»,
a dit le directeur de la Santé publique de l'Agence de la santé et des services
sociaux du Saguenay-Lac-Saint-Jean, le Dr Donald Aubin.
Au CLSC de Chicoutimi, les infirmières pourraient recevoir dix fois plus de citoyens.
On comprend mal le faible achalandage.
«Peut-être le manque de publicité, a dit la responsable de la vaccination,
Mélissa Pilote. Les gens ont peut-être oublié qu'il fallait une deuxième dose.
C'était pourtant bien indiqué.»
La maladie touche sept fois plus de personnes au Saguenay-Lac-Saint-Jean et 10%
des personnes atteintes en meurent.
«On est devant quelqu'un qui se détériore devant nous de façon importante,
a indiqué le Dr Aubin. C'est inquiétant pour les cliniciens, inquiétant pour les parents.
C'est une problématique de santé, qui ne faut pas prendre à la légère.»
Depuis le début de la campagne, il n'y a pas eu d'autres cas, mais la période active
de la maladie approche.
«On le sait que ça va revenir. L'hiver s'en vient, il y a plus de cas», a ajouté le Dr Aubin.
L'Agence de la santé croit que son taux de réponse s'améliorera lorsque
les deuxièmes doses seront distribuées dans les écoles d'ici la fin du mois.
Toutes les informations nécessaires à la vaccination sont disponibles sur le site
internet
devant la justice et jusqu'à l'Élysée pour avoir le droit de se marier, devaient finalement
convoler samedi dans leur petit village de Moselle, a-t-on appris auprès des intéressés,
c'est le grand jour ! J'espère simplement que notre histoire pourra être utile à d'autres
couples dans notre situation, car je sais qu'il y en a un certain nombre»,
a dit à l'AFP la mariée, Elisabeth Lorentz, 48 ans.
La justice avait longtemps empêché ce mariage au motif que Mme Lorentz a été précédemment mariée
avec le père de son compagnon actuel, Eric Holder, 45 ans. Ce dernier, né d'une précédente
union, n'a aucun lien de consanguinité avec sa compagne. Mais la loi interdit les unions
entre ascendants et descendants en ligne directe.
Le couple avait été plaider sa cause jusqu'à l'Élysée, mais n'avait obtenu en juin 2013
qu'un rappel de la loi qui interdit ce type de mariages, signé de la main de François Hollande.
En juin 2014, le couple a finalement obtenu du tribunal de Metz le droit de se marier. Le procureur,
qui s'y était opposé, n'a pas fait appel de cette décision.
Samedi, une centaine de personnes devaient assister au mariage, civil et religieux,
dans le petit village de Dabo, à la lisière de l'Alsace et de la Lorraine.
L'ex-époux de la mariée, qui est aussi le père du marié, sera présent.
«Il nous a toujours soutenus», souligne Mme Lorentz.
Ancien dictateur d'Haïti Beaucoup de réactions à la mort de Bébé Doc
La mort de l'ancien président haïtien Jean-Claude Duvalier, survenue samedi, a provoqué des
réactions mitigées partout dans le monde, en Haïti et au Québec.
Âgé de 63 ans, l'ancien dictateur surnommé «Bébé Doc» est mort d'une crise cardiaque à son
domicile de Port-au-Prince, samedi. Au moment de sa mort, il était poursuivi pour des
«crimes contre l'humanité» commis pendant sa dictature.
En tant que 41e président de la République d'Haïti, il a succédé en 1971 à son père,
l'ancien dictateur François «Papa Doc». Après 15 ans au pouvoir, il s'est exilé en
France en 1986 après une révolte populaire. Il est rentré dans son pays en janvier 2011.
«C'est une page de l'histoire haïtienne qui se tourne, la fin d'une époque», a dit en
entrevue le chanteur Luck Mervil. Ses parents ont immigré au Québec alors qu'il n'avait que
4 ans. «Ils cherchaient surtout à donner un meilleur avenir à leurs enfants. Ils ne fuyaient
pas spécialement le régime», a-t-il ajouté.
Le chanteur estime que, pour les Haïtiens qui sont installés depuis longtemps au Québec,
le régime Duvalier est un souvenir lointain. «Les gens qui n'ont pas été touchés directement
ont tendance à oublier, dit-il. Heureusement qu'il y a des films pour se rappeler.
C'est là qu'on comprend que les gens ne pouvaient pas sortir dans la rue sans risquer leur vie.»
Le chanteur a lui-même rencontré par hasard l'ancien dictateur à Paris, il y a quelques années.
L'homme politique, qui mangeait dans un grand restaurant, l'aurait reconnu et aurait discuté
quelques minutes avec lui. «Il avait l'air malade. On sentait que ça n'allait pas
bien du tout», a précisé Luck Mervil.
Employées et clientes flouées Une visite peu reposante au Spa Diamant
Mauvais traitements, annulations et difficultés à obtenir les soins pour
lesquels elles ont payé, les frustrations des clientes du Spa Diamond,
ou Diamant, sont nombreuses.Nathalie Verrette est l'une d'entre elles. Elle a acheté un
forfait de 200$ sur Groupon en novembre 2013, qu'elle a bonifié quelques mois plus tard.
«Je suis rendue à 950$ de frais et là -dessus, je n'ai eu que deux traitements complets»,
a raconté celle qui songe maintenant à faire partie d'un recours collectif.
Des clientes disent aussi avoir été brûlées. J.E. a obtenu copie d'une plainte déposée
l'an dernier à la Cour des petites créances. La propriétaire a été condamnée à payer 999$
plus intérêts. Une employée a aussi affirmé dans un entretien téléphonique que les
compagnies d'assurances refusent maintenant d'assurer, en raison des nombreux cas de brûlures.
Des chèques sans provision
Les employés ne sont pas au nirvana. Les jeunes professionnelles déplorent le haut taux de
roulement au sein des trois spas à l'Ile-Perrot, Dorval et Greenfield Park. Selon nos
informations, seul le spa de Greenfield Park serait toujours en activité. Les employées
rencontrées affirment avoir reçu des chèques sans provision, d'autres fabriqués avec
du correcteur liquide, et même des chèques en blanc.
«Je me disais : il faut qu'elle me fasse vraiment confiance pour me donner un chèque comme ça,
a raconté Melisa Gagnon une ex-employée. Dans le fond, elle savait que peu importe le
montant, il n'y avait pas d'argent.»Maude Ferguson-Girard subit encore les contrecoups de sa courte
carrière au spa Diamond : «En travaillant là un mois, mon nom a été sali, mes comptes
sont montés dans le rouge et ça m'a rendue dépressive».
Réaction de la propriétaire
L'équipe de J.E. a tenté de savoir où va tout cet argent et comprendre les déboires de ces
succursales. La propriétaire a accepté d'accorder une entrevue à la caméra, mais elle a
finalement annulé son rendez-vous à la dernière minute.
Liée à l'entérovirus D-68?Mystérieuse paralysie chez les enfants
Une mystérieuse maladie qui s'attaque uniquement aux enfants soulève à nouveau
l'inquiétude aux États-Unis. Vendredi, à Denver au Colorado, 11 enfants ont dû être
hospitalisés en raison de symptômes allants de l'évanouissement, jusqu'à la paralysie
partielle.Selon le réseau CNN, quatre enfants ont également eu ces mêmes symptômes,
mais à plus de 3000 km de là , à Boston.
Les médecins n'arrivent pas à mettre le doigt sur ce qui affecte les enfants.
En plus des symptômes liés à des faiblesses et de la paralysie, les experts ont
noté un dysfonctionnement du nerf crânien, et des anomalies de la moelle osseuse.
Si certains des enfants hospitalisés ont été testés positifs à l'entérovirus D-68,
d'autres enfants n'en avaient aucune trace dans le sang.
L'entérvirus D-68 s'est propagé rapidement sur l'ensemble du territoire américain
au cours des deux derniers mois, causant de sérieux problèmes respiratoires
à des enfants en bas âge. Un seul cas de mortalité a été rapporté.
Au Québec, l'hôpital Sainte-Justine a confirmé que des cas de D-68, ont été
enregistrés à Montréal, il y a trois semaines.
Saguenay
Ses cheveux brûlés par un coiffeur
Une dame de Saguenay a eu le cuir chevelu brûlé, en août dernier, après
qu'un coiffeur lui ait administré un traitement défrisant habituellement
réservé aux personnes noires.Une histoire révélée par Radio X qui
fait énormément réagir.
La dame en question a expliqué que les brûlures étaient si importantes que
ses cheveux ne repousseront pas à certains endroits.
Elle songe à entreprendre des procédures judiciaires contre le salon et son
coiffeur.La femme souhaite mettre en garde la population et invite les gens Ã
s'informer avant d'entreprendre ce genre de traitement
Vaccin contre la méningiteLes Saguenéens tardent à recevoir la 2e dose
Au Saguenay-Lac-Saint-Jean, les citoyens répondent en nombre nettement insuffisant Ã
l'appel des autorités médicales pour recevoir leur deuxième dose du vaccin contre la
méningite de type B, pourtant absolument nécessaire en vue d'une protection adéquate.
Lors de la première semaine de campagne au printemps dernier, 10 000 citoyens de la région
avaient reçu leur première dose, mais seuls 2300 d'entre eux se sont présentés
pour recevoir la deuxième, la semaine dernière.
«J'avais pris rendez-vous, mais j'étais toute seule. Il n'y avait personne»,
a expliqué une mère de famille.«Il faut atteindre notre objectif de 80% pour les deux doses.
Le défi est de taille, mais on ne baisse pas les bras et on continue»,
a dit le directeur de la Santé publique de l'Agence de la santé et des services
sociaux du Saguenay-Lac-Saint-Jean, le Dr Donald Aubin.
Au CLSC de Chicoutimi, les infirmières pourraient recevoir dix fois plus de citoyens.
On comprend mal le faible achalandage.
«Peut-être le manque de publicité, a dit la responsable de la vaccination,
Mélissa Pilote. Les gens ont peut-être oublié qu'il fallait une deuxième dose.
C'était pourtant bien indiqué.»
La maladie touche sept fois plus de personnes au Saguenay-Lac-Saint-Jean et 10%
des personnes atteintes en meurent.
«On est devant quelqu'un qui se détériore devant nous de façon importante,
a indiqué le Dr Aubin. C'est inquiétant pour les cliniciens, inquiétant pour les parents.
C'est une problématique de santé, qui ne faut pas prendre à la légère.»
Depuis le début de la campagne, il n'y a pas eu d'autres cas, mais la période active
de la maladie approche.
«On le sait que ça va revenir. L'hiver s'en vient, il y a plus de cas», a ajouté le Dr Aubin.
L'Agence de la santé croit que son taux de réponse s'améliorera lorsque
les deuxièmes doses seront distribuées dans les écoles d'ici la fin du mois.
Toutes les informations nécessaires à la vaccination sont disponibles sur le site
internet