Reprise du dernier message
Effrayée par les dentistes, elle fixe ses dents à la colle forte
Effrayée à l'idée d'aller chez le dentiste, une Anglaise a préféré recoller
ses dents avec de la colle forte.
Pendant des années, Angie Barlow s'est soignée avec de la Super Glue, car elle avait trop peur
de consulter un dentiste.
Cette mère de famille de 48 ans se bricolait de petits systèmes pour pouvoir recoller des dents chancelantes.
Cependant, cette technique particulière a eu de grosses répercussions sur l'os de sa mâchoire, l'usant par endroit à plus de 90%.
Mme Barlow, qui vit à Altrincham dans le Cheshire, a avoué au Daily Mirror qu'elle fuyait les cabinets dentaires depuis le décès de sa mère.
«J'ai peur d'aller chez le dentiste depuis la mort de ma mère d'un cancer de la gorge. Elle n'avait que 34 ans. C'est en examinant une de ses dents que les médecins avaient découvert qu'elle était malade», a-t-elle expliqué.
«L'angoisse liée à cette situation ne m'a jamais quittée. Tu te dis que tu dois y aller, tu tentes de contacter quelqu'un puis tu renonces.»
Un patient amnésique renvoyé seul chez lui
Amnésique après un accident de vélo, un jeune homme de Saint-Jean-sur-Richelieu a été renvoyé chez lui par l'hôpital sans qu'il se souvienne comment contacter ses proches.
Nassim Tabet a été victime d'un accident de vélo dans la nuit de lundi à mardi.
Il a alors été conduit à l'hôpital du Haut-Richelieu, en Montérégie, où les médecins ont constaté qu'il avait un choc important à la tête qui a provoqué une amnésie partielle.
Dans le rapport d'hôpital du jeune homme que TVA Nouvelles a pu consulter, il est indiqué que ce dernier a été confus durant toute son hospitalisation.
«Je ne comprenais pas vraiment ce qui s'était passé. J'avais de la difficulté à me rappeler les propos de l'infirmière», explique-t-il.
Malgré cette situation préoccupante, M. Tabet a reçu son congé dans des circonstances particulières.
«Quand j'ai eu mes papiers, l'infirmier m'a demandé si je voulais être transporté en chaise roulante. J'ai répondu que oui. Il m'a alors déposé à l'entrée de l'établissement, en me disant "les téléphones sont là , les taxis sont là . Vous vous débrouillez pour rentrer chez vous», détaille le jeune homme, toujours marqué par sa mésaventure.
Sa conjointe n'étant pas à la maison, il a contacté un taxi qui l'a ramené chez lui.
Sans clés, et à la porte, il a dû patienter des heures avant de pouvoir se mettre à l'abri.
«Je reproche à l'hôpital de l'avoir laissé sur le pas de la porte, dans la condition où il était, sans avoir pris les mesures nécessaires pour me rejoindre», fait savoir Marylène Corbeil, la conjointe de M. Tabet.
Du côté de l'hôpital, on explique que le protocole a été respecté à la lettre dans ce cas. Un porte-parole a expliqué qu'à partir du moment où le médecin traitant signe le congé de l'hôpital, il n'y a aucun problème à ce qu'un patient retourne chez lui dans de telles circonstances
Séisme de 7,8 au large du Japon
Décès mystérieux de 120 000 antilopes
Des commerçants protestent contre le stationnement
Compétition de «bébés sumo»
Une centaine de bambins s'affrontaient samedi sur un tapis de sumo au Japon, à coup de cris et de pleurs au cours d'une compétition annuelle de bébés sumo, tradition japonaise censée leur garantir une bonne santé.
C'est dans le temple de Sensoji à Tokyo dans le quartier historique Asakusa, que d'imposants lutteurs de sumo ont incité 120 bébés à hurler à pleins poumons sur commande, pour le plus grand bonheur de leurs parents et du public.
Ces cérémonies traditionnelles, vieilles de 400 ans, se déroulent dans des temples et autres lieux de culte dans l'ensemble du pays, mais le réglement varie selon les régions : parfois les bébés en compétition doivent montrer quel sera le premier à donner de la voix, et ailleurs au contraire le premier à hurler est le perdant.
Dans le cas de la rencontre d'Asakusa, où la compétition a lieu depuis 1991, deux bambins ont été conduits sur le ring, où de vrais lutteurs sumo les tenaient en les secouant doucement tandis qu'un arbitre criait : «Pleure ! Pleure!»
L'épreuve a été remportée par le bébé qui a hurlé le plus vite et le plus fort.
Chez certains enfants les hurlements ont éclaté sans beaucoup de sollicitation, mais pour d'autres, plus stoïques, il a fallu l'irruption sur le ring de juges affublés de masques de diable, provoquant l'hilarité du public.
ses dents avec de la colle forte.
Pendant des années, Angie Barlow s'est soignée avec de la Super Glue, car elle avait trop peur
de consulter un dentiste.
Cette mère de famille de 48 ans se bricolait de petits systèmes pour pouvoir recoller des dents chancelantes.
Cependant, cette technique particulière a eu de grosses répercussions sur l'os de sa mâchoire, l'usant par endroit à plus de 90%.
Mme Barlow, qui vit à Altrincham dans le Cheshire, a avoué au Daily Mirror qu'elle fuyait les cabinets dentaires depuis le décès de sa mère.
«J'ai peur d'aller chez le dentiste depuis la mort de ma mère d'un cancer de la gorge. Elle n'avait que 34 ans. C'est en examinant une de ses dents que les médecins avaient découvert qu'elle était malade», a-t-elle expliqué.
«L'angoisse liée à cette situation ne m'a jamais quittée. Tu te dis que tu dois y aller, tu tentes de contacter quelqu'un puis tu renonces.»
Un patient amnésique renvoyé seul chez lui
Amnésique après un accident de vélo, un jeune homme de Saint-Jean-sur-Richelieu a été renvoyé chez lui par l'hôpital sans qu'il se souvienne comment contacter ses proches.
Nassim Tabet a été victime d'un accident de vélo dans la nuit de lundi à mardi.
Il a alors été conduit à l'hôpital du Haut-Richelieu, en Montérégie, où les médecins ont constaté qu'il avait un choc important à la tête qui a provoqué une amnésie partielle.
Dans le rapport d'hôpital du jeune homme que TVA Nouvelles a pu consulter, il est indiqué que ce dernier a été confus durant toute son hospitalisation.
«Je ne comprenais pas vraiment ce qui s'était passé. J'avais de la difficulté à me rappeler les propos de l'infirmière», explique-t-il.
Malgré cette situation préoccupante, M. Tabet a reçu son congé dans des circonstances particulières.
«Quand j'ai eu mes papiers, l'infirmier m'a demandé si je voulais être transporté en chaise roulante. J'ai répondu que oui. Il m'a alors déposé à l'entrée de l'établissement, en me disant "les téléphones sont là , les taxis sont là . Vous vous débrouillez pour rentrer chez vous», détaille le jeune homme, toujours marqué par sa mésaventure.
Sa conjointe n'étant pas à la maison, il a contacté un taxi qui l'a ramené chez lui.
Sans clés, et à la porte, il a dû patienter des heures avant de pouvoir se mettre à l'abri.
«Je reproche à l'hôpital de l'avoir laissé sur le pas de la porte, dans la condition où il était, sans avoir pris les mesures nécessaires pour me rejoindre», fait savoir Marylène Corbeil, la conjointe de M. Tabet.
Du côté de l'hôpital, on explique que le protocole a été respecté à la lettre dans ce cas. Un porte-parole a expliqué qu'à partir du moment où le médecin traitant signe le congé de l'hôpital, il n'y a aucun problème à ce qu'un patient retourne chez lui dans de telles circonstances
Séisme de 7,8 au large du Japon
Décès mystérieux de 120 000 antilopes
Des commerçants protestent contre le stationnement
Compétition de «bébés sumo»
Une centaine de bambins s'affrontaient samedi sur un tapis de sumo au Japon, à coup de cris et de pleurs au cours d'une compétition annuelle de bébés sumo, tradition japonaise censée leur garantir une bonne santé.
C'est dans le temple de Sensoji à Tokyo dans le quartier historique Asakusa, que d'imposants lutteurs de sumo ont incité 120 bébés à hurler à pleins poumons sur commande, pour le plus grand bonheur de leurs parents et du public.
Ces cérémonies traditionnelles, vieilles de 400 ans, se déroulent dans des temples et autres lieux de culte dans l'ensemble du pays, mais le réglement varie selon les régions : parfois les bébés en compétition doivent montrer quel sera le premier à donner de la voix, et ailleurs au contraire le premier à hurler est le perdant.
Dans le cas de la rencontre d'Asakusa, où la compétition a lieu depuis 1991, deux bambins ont été conduits sur le ring, où de vrais lutteurs sumo les tenaient en les secouant doucement tandis qu'un arbitre criait : «Pleure ! Pleure!»
L'épreuve a été remportée par le bébé qui a hurlé le plus vite et le plus fort.
Chez certains enfants les hurlements ont éclaté sans beaucoup de sollicitation, mais pour d'autres, plus stoïques, il a fallu l'irruption sur le ring de juges affublés de masques de diable, provoquant l'hilarité du public.