Lire des nouvelles d`hier et aujourd`hui

Fête d'anniversaire d'une ado Quand la merde pleut sur vos invités!

Une Américaine venait de souffler les 16 chandelles de son gâteau d'anniversaire
quand la fête a pris une tournure vraiment dégoûtante.
Un avion qui passait au-dessus de Levittown en Pennsylvanie a décidé de larguer le contenu de ses toilettes
qui a éclaboussé la famille et les amis de la jeune fille.
La quarantaine de personnes s'amusaient dans la cour. Certains nageaient dans la piscine, d'autres
discutaient, jouaient aux fers. Tous étaient heureux d'être là à cette fête de «Sweet 16» quand des
excréments sont tombés du ciel.«Il s'est mis à pleuvoir de la merde comme ça de nulle part. Ça a tombé
tellement fort sur le gazebo», a raconté à Fox 29, Joe Cambray, le beau-père de la fêtée.
L'homme avait acheté le gazebo seulement quelques heures plus tôt afin d'être certain qu'il serait
protégé de la pluie. Il ne s'attendait pas à ce que de la crotte s'abatte sur eux.
«Heureusement, nous avions terminé de manger le gâteau, Dieu merci», a expliqué par sa part,
la sœur de Joe Cambray.Deux minutes plus tard, les invités avaient droit au contenu des toilettes
d'un avion qui passait au-dessus d'eux.
Pas difficile d'imaginer que la petite fête a été littéralement ruinée. La famille a porté plainte
à la Federal Aviation Administration (FAA). Cinq avions ont survolé la ville à ce moment-là.
La FAA a assuré à Fox 29 qu'une enquête a été ouverte.

Un bébé de deux jours forcé de marcher
Des images dérangeantes filmées en Inde montrent un bébé de seulement deux jours, que l'on force
à marcher et à rester debout par une guérisseuse, afin de soigner une forte fièvre.
On peut voir le nouveau-né tenu par le cou, dans une scène horrifiante, qui se déroule
sous les yeux de dizaines de villageois à Assam, en Inde, rapporte le Daily Mail
Les parents de l'enfant l'ont amené à cette «sorcière» qui les a convaincus de le faire
défiler en le faisant marcher sur une couverture, dans le cadre d'un rituel plutôt étrange.
Le bébé, en état de crise, semble terrorisé par la situation. Au moins un des témoins de la
scène a filmé le rituel. Heureusement, cette même personne a montré les images aux
autorités locales pour dénoncerEnvoyés sur les lieux, les policiers ont pris l'enfant
et l'ont amené à l'hôpital, où le petit se remet lentement.
Les parents ont dit de leur côté que le bébé était fiévreux depuis sa naissance,
deux jours plus tôt. Selon le site de nouvelles NDTV, deux femmes ont été arrêtées,
incluant la guérisseuse.Les officiels de l'État ont averti les femmes qui attendent
un enfant qu'une telle pratique était inacceptable et dangereuse.
Une campagne à grande échelle est d'ailleurs prévue pour prévenir les
parents de la dangerosité de ce type de rituel.

Il perd 15 milliards $ en 1 heure
Un homme d'affaires chinois a vu la valeur de son portefeuille diminuer de 15 milliards $ en
seulement 60 minutes, mercredi, ce qui a provoqué une véritable crise dans le monde financier.
Li Hejun, est le président de Hanergy, une multinationale chinoise prospère spécialisée dans
les énergies renouvelables. Il est la troisième personne la plus riche de Chine avec une fortune
estimée à près de 20 milliards $, d'après le classement du magazine Forbes.
C'est son absence injustifiée lors de l'assemblée générale annuelle du groupe qui a provoqué
une onde de choc et a fait chuter l'action de près de moitié à la Bourse de Hong Kong.
Après avoir tenté de limiter la crise, les responsables de l'entreprise ont finalement réussi
à joindre M. Hejun. Pour justifier son absence, il a simplement signifié qu'il avait «autre
chose à faire», a indiqué une porte-parole au Financial Times ce qui n'a pas apaisé
l'inquiétude des investisseurs.
Ce comportement est très rare. Pour que le patron d'une entreprise s'absente lors de l'assemblée
annuelle, il faut qu'il se passe quelque chose de grave et cela soulève beaucoup de questions,
explique un analyste financier interrogé par la firme financière Bloomberg.
Le titre de l'entreprise a perdu 47 % de sa valeur en seulement quelques minutes
faisant diminuer la capitalisation boursière de 20 milliards $.

Le mystère plane à Brossard

Une adolescente de 15 ans a été retrouvée semi-consciente et à moitié dévêtue dans un parc annexé à une école secondaire, tôt dimanche matin, à Brossard. Depuis, le mystère plane: qu'est-ce qui a bien pu lui arriver?
Vers 6h, un piéton a aperçu la jeune fille dans un piètre état, au sol, tout juste à côté de l'école secondaire Lucille-Teasdale, située sur le boulevard Pelletier. La résidente de Brossard a rapidement été conduite vers un centre hospitalier, mais on ne craint pas pour sa vie. «Il n'y avait aucune trace de violence sur son corps», a indiqué Mark David, porte-parole de la police de Longueuil.

Accusation possible pour avoir «flushé» sa femme
Un Japonais de 68 ans s'est débarrassé des cendres de son épouse défunte dans la cuvette des toilettes d'un supermarché tant était grand son ressentiment à son endroit, ont annoncé la presse et la police dimanche.
Le mari aigri s'est rendu lui-même à la police, a rapporté le journal Yomiuri Shimbun.
Jusqu'à ce qu'il avoue son geste, celle-ci était bien en peine d'expliquer ce que faisaient des fragments d'os, dont un menton, dans les toilettes de ce supermarché de Tokyo.
L'homme a expliqué qu'au fil des ans, son mariage s'était détérioré.
«Ma haine envers elle grandissait», a dit l'époux, cité par le quotidien. «La vie était si dure avant son décès».
L'épouse est décédée des suites d'une maladie à l'âge de 64 ans. Elle avait été incinérée et son mari s'était débarrassé des cendres immédiatement après la crémation.
Le parquet étudie l'opportunité de le poursuivre pour abandon de dépouille.
Les cendres d'êtres humains ne peuvent être dispersés que dans certains sites autorisés, a expliqué à l'AFP un porte-parole de la police de Tokyo.

Un K.-O. au menu
Un jeune client d'un restaurant en Russie a reçu toute une leçon de civisme de la part d'une serveuse.
Dans les images captées par une caméra de surveillance du petit café, nous apercevons la serveuse qui se rend au client. Il tente de lui glisser un billet de monnaie dans son décolleté.
Elle se débat et fait tomber le client de sa chaise. Visiblement vexé par «l'attitude» de la serveuse, il glisse sa main près des fesses de l'employée. D'un seul coup de menu, elle le frappe et celui-ci tombe une deuxième fois.
Menaçant, il se dirige une seconde fois vers la serveuse et il reçoit un coup du menu directement sur la tête le mettant knock-out.

Un bébé piégé par le chat
Un bébé vient d'apprendre qu'il ne faut jamais visiter le fond des armoires de cuisine lorsque le chat de la maisonnée est dans les environs.
Lorsque le bébé finit par entrer à quatre pattes, le chat saute littéralement sur la porte de l'armoire pour s'élancer vers le sol.
Dès que le félin exécute son saut, la porte de l'armoire se referme immédiatement, laissant le pauvre enfant dans l'obscurité la plus totale.

Près de 50 degrés Celsius
Une vague de chaleur tue plus de 430 personnes
Plus de 430 personnes ont trouvé la mort dans deux États du sud de l'Inde après plusieurs jours d'une vague de chaleur au cours de laquelle la température a frôlé les 50°C, ont indiqué les autorités lundi.
Le bilan devrait encore s'alourdir, préviennent-elles, certains chiffres de l'État du Telangana (sud) n'étant pas encore parvenus tandis que le thermomètre ne marquait aucun fléchissement.
La chaleur sévit depuis plusieurs jours en Inde, y compris dans la capitale New Delhi où la température approche 45°C, et provoque des coupures de courant mais ce sont les Etats voisins du Telangana et de l'Andhra Pradesh qui souffrent le plus.
Dans l'Andhra Pradesh, les autorités exhortent la population à ne pas travailler longtemps sous le soleil, après la mort de 246 personnes en raison de la chaleur la semaine passée.
«La majorité des victimes ont été exposées directement au soleil, avaient 50 ans ou plus et étaient issues de la classe ouvrière», a dit P. Tulsi Rani, un haut responsable de la gestion des catastrophes naturelles de l'Etat de l'Andhra Pradesh, à l'AFP.
«Nous demandons de prendre des précautions, de s'abriter, de porter un chapeau, de boire beaucoup d'eau et de porter des vêtements de coton», a-t-il ajouté.
Dans le Telangana, 188 personnes sont mortes, la plupart en milieu de semaine passée mais le bilan, qui doit encore être confirmé, continue d'augmenter, a déclaré à l'AFP D.Vani, un responsable de l'unité de gestion des catastrophes de cet Etat.
Chaque année, la chaleur tue des centaines de personnes en Inde, principalement parmi les plus pauvres, et des dizaines de milliers d'autres souffrent de coupures de courant.
«La vague de chaleur actuelle est légèrement plus forte que d'habitude. Les températures ont pratiquement atteint 48/49 degrés», a dit B. R. Meena, haut responsable de l'Etat du Telangana.
Dans le Rajasthan (nord-ouest), plusieurs personnes sont mortes en raison de la chaleur, dont une femme qui s'est évanouie et a succombé au bord de la route à Bundi, selon l'agence Press Trust of India.

Il dépense 160 M$ pour vivre comme les héros de Star Trek
Un millionnaire chinois, grand fan de la série télévisée Star Trek, a reproduit le mythique vaisseau spatial USS Enterprise dans l'architecture futuriste du nouveau siège de son entreprise.
Liu Dejian ne va pas jusqu'à s'affubler des oreilles pointues de Spock, ni du maillot de corps moulant du capitaine Kirk, mais il a bien baptisé «Enterprise» son immeuble de bureaux à Fuzhou (est de la Chine), copie fidèle de l'engin intergalactique connu pour s'aventurer «là où aucun homme, là où personne, n'est jamais allé».
Le «Trekkie», ainsi que sont surnommés les fans de la série de science-fiction, a déboursé 160 millions de dollars pour bâtir ce siège emblématique pour sa société, NetDragon Websoft, qui édite des applications pour l'internet mobile, selon le site du Quotidien du peuple.

France Une grenouille morte dans les haricots
Une jeune maman française a eu la désagréable surprise de trouver une grenouille morte dans une boîte de haricots verts.
Le batracien mesurait la taille d'un pouce humain.
«J'ai fait un bond en arrière quand j'ai vu ça», a-t-elle raconté à France 3.
La chaîne de supermarchés où les haricots ont été achetés a affirmé qu'«il va y avoir un ordre de retrait national».

La Palme d'or au Français Jacques Audiard pour Dheepan

Une vague de chaleur tue plus de 430 personnes

L'ancien maire Jean Doré reçoit le prix du Mont-Royal

Une dizaine de familles évacuées

Au moins trois morts dans des inondations

Palmyre en Syrie: au moins 67 civils tués
L'EI exécute 217 personnes en neuf jours
Le groupe Etat islamique (EI) a exécuté au moins 217 personnes, dont des civils, depuis qu'il s'est emparé il y a neuf jours d'une partie de la province syrienne de Homs qui inclut Palmyre, a affirmé une ONG dimanche.
L'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH) a déclaré qu'il avait des preuves de l'exécution de 67 civils, dont des enfants, et de 150 membres des forces syriennes, par des jihadistes de l'EI dans plusieurs endroits de la province de Homs depuis le 16 mai.
«L'Observatoire a confirmé que l'Etat islamique avait exécuté 67 civils, dont 14 enfants et 12 femmes à Soukhna, Amiriya, aux environs de casernes d'officiers et à Palmyre», a indiqué l'ONG basée en Grande-Bretagne, en évoquant plusieurs zones situées dans l'est de la province de Homs.
«L'EI a également exécuté plus de 150 membres des forces armées» et des milices du régime de Damas et d'autres accusés d'être des informateurs loyaux au régime, selon l'ONG.
Selon le directeur de l'Observatoire Rami Abdel Rahman, des familles entières ont été exécutées, dont des enfants avec leurs parents.
«La plupart des exécutions ont eu lieu à Palmyre. Certaines victimes ont été tuées par balles, d'autres ont été décapitées ou tuées avec des couteaux», a-t-il déclaré à l'AFP.
L'Observatoire a fourni ce bilan quelques heures après que les médias officiels syriens eurent affirmé que l'EI avait commis un «massacre» à Palmyre, tuant quelque 400 civils, la plupart des femmes et des enfants.
Selon l'ONG, 600 personnes, dont des forces armées, des militants progouvernementaux et des civils accusés de liens avec le régime, ont été en outre faites prisonnières par l'EI au cours de son avancé

En visite dans la région de Québec pour les partielles, François Legault
a vertement dénoncé la hausse de 7% des tarifs d'électricité en deux ans:

Pauvre petit Happy!
Ce petit chien a été secouru après avoir passé 20 jours sous une dalle de béton

Le Québécois Denis Villeneuve échappe la Palme d'Or à Cannes.
La prestigieuse récompense a été remise au réalisateur français Jacques

Seriez-vous prêt à inviter un démon chez vous simplement pour répondre à un défi sur Internet? Il semble que de nombreux jeunes se prêtent à un nouveau jeu qui est devenu complètement viral.
La nouvelle tendance sur les réseaux sociaux est de participer au «Charlie Charlie Challenge» qui consiste à se filmer alors qu'on convoque un ancien démon mexicain chez soi appelé Charlie.
Des millions de jeunes se sont filmés alors qu'ils invitaient ce démon à jouer avec eux. En 48 heures seulement, ils ont été 2 millions Pour le faire, il faut placer deux crayons pour former une croix au-dessus d'une feuille de papier. Dans les carreaux formés par les crayons, on inscrit alors deux fois le mot oui et deux fois le mot non.

Un héros récompensé pour son altruisme
Après avoir sauvé la vie d'un garçon en utilisant son turban pour arrêter le saignement de sa tête, un jeune homme sikh a reçu un énorme cadeau de la part d'une chaîne de télévision de la Nouvelle-Zélande.
Le 17 mai dernier, Harman Singh, 22 ans, avait retiré son turban en public, même si sa religion l'interdit, pour venir en aide au jeune Daejon Pahia, 6 ans, qui avait été heurté par un véhicule.
Sur la photo devenue virale, on peut voir Harman tenir son turban sous la tête du garçon pour limiter les dommages.
C'est lors d'une entrevue donnée à la chaîne OneNews qu'on a remarqué qu'Harman vivant dans un appartement modeste avec très peu de meubles.
Le logement était simplement meublé avec des chaises en plastique qu'on met habituellement dans la cour arrière et Harman dormait sur un simple matelas placé directement au sol.
Donc une semaine après l'entrevue, OneNews est retourné sur place pour lui faire une surprise.
Après avoir modestement dit qu'il n'était pas célèbre, l'équipe de la chaîne lui a amené des meubles pour son appartement. Le bon Samaritain en a pleuré de joie.
Mais il a également eu quelques larmes en voyant le garçon qu'il avait aidé.
«Je suis tellement heureux de le voir, c'est un petit garçon très brave», a-t-il dit au Daily Mail Australia.
«Sa mère et son père étaient contents de me voir. Ils m'ont remercié plusieurs fois», a ajouté Harman.

La masturbation rendra vos mains enceintes dans l'au-delà»
L'animateur d'une émission sur les enseignements de l'Islam fait beaucoup parler de lui sur les réseaux sociaux après des propos tenus sur la chaîne turque 2000 TV.
Lors d'une séance où l'homme répondait à des questions, un téléspectateur lui a demandé si «c'était grave de continuer à se masturber même lorsqu'on est marié».
Mucahid Cihad Han a alors répondu qu'il fallait «résister à la tentation de Satan. Ceux qui ont des rapports sexuels avec leurs mains les retrouveront enceintes dans l'au-delà», lit-on dans un texte du Mirror.
Le prédicateur a ajouté que si «un téléspectateur est célibataire, [il pouvait] lui recommander de se marier au plus vite».Réactions sur les réseaux sociaux
Les réactions n'ont pas tardé sur les réseaux sociaux.
«Est-ce que la césarienne des mains sera possible? De combien de temps sera la période de gestation?»,
a écrit un utilisateur de Twitter

Fillette renversée, le conducteur recherché
Une fillette de 4 ans qui s'en allait au parc a été heurtée par un véhicule qui ne s'est jamais arrêté après l'impact, mardi en fin d'après-midi, à Montréal.
Selon toute vraisemblance, la jeune fille aurait échappé à la vigilance de l'adulte qui l'accompagnait. La fillette semblait pressée d'arriver au parc situé directement en face du lieu de la collision, sur l'avenue de Lorimier, tout près de l'intersection de la rue de Rouen.
«On a entendu un « boum » quand la petite a été happée, a raconté un témoin. La madame qui était avec elle s'est mise à hurler «Oh my god! Oh my god!» On se doutait que quelque chose de grave venait de se produire.»
Un bon samaritain qui passait par-là est rapidement allé porter assistance à l'enfant, étendue sur l'asphalte et souffrant de sérieuses blessures à la tête.
Quant au conducteur fautif, il a poursuivi son chemin, sans jamais s'arrêter.
La fillette a été transportée d'urgence à l'hôpital, laissant craindre un important traumatisme à la tête, mais les nouvelles étaient plus rassurantes en soirée. «Elle est dans un état stable, on ne craint pas pour sa vie, et ses blessures seraient même plutôt mineures», a fait savoir Anie Lemieux, porte-parole du SPVM.
La femme qui accompagnait la petite fille n'a pas été blessée, mais a subi un violent choc nerveux.
«Je savais que ça allait arriver»
Un résident du secteur qui sortait de chez lui lorsque le drame s'est produit était dans tous ses états quand il a appris ce qui venait de se produire à quelques mètres de chez lui.
«Ça fait 10 ans que j'habite ici et ça fait plusieurs années que j'appelle à la Ville pour demander qu'on fasse quelque chose pour ralentir le trafic sur de Lorimier», a tonné Vincent Lefebvre.
Ce dernier aurait suggéré à de nombreuses occasions des pistes de solutions aux instances municipales. «J'ai demandé à ce qu'on désynchronise les feux de circulation, qu'on installe un photo-radar ou bien qu'on augmente la présence policière, mais chaque fois, on m'a répondu que c'était impossible», a-t-il pesté.
Selon M. Lefebvre, avec une école et trois parcs dans le secteur, ce n'était qu'une question de temps avant qu'un enfant soit renversé par un véhicule. «Je savais que ça allait arriver un jour. Et ce jour-là, c'est aujourd'hui (mardi)», a laissé tomber le père de famille.
En milieu de soirée, les policiers étaient toujours à la recherche du véhicule suspect, une voiture bleu marine, ainsi que son conducteur, un homme âgé de 50 ou 60 ans, avec des cheveux mi-longs frisés. «On demande à cet individu de se rendre au poste de police de son quartier le plus rapidement possible», a dit Anie Lemieux, soulignant que les enquêteurs étaient à la recherche d'informations et donc de témoins (ligne Info-Crime: 514-393-1133).

Elle organise un grandiose anniversaire à sa fille et meurt le lendemain
Une maman de Oak Grove, dans le Minnesota, atteinte d'un cancer du sein a tenu à préparer le plus magnifique premier anniversaire à sa fille puis est morte doucement le lendemain, au terme d'une bataille de 18 mois contre la maladie.
«On savait que ça n'allait pas bien, et elle se disait: "si c'est le seul anniversaire de ma fille auquel je pourrai assister, je veux qu'il soit grandiose"». a raconté le mari d'Athena Krueger, Ben Krueger dans une entrevue à une collaboratrice du Today Show à NBC.Ainsi, la jeune maman a organisé le plus gros tea party pour sa petite, avec costumes et décors en plein air, malgré l'avertissement de ses médecins qui craignaient qu'elle ne tienne pas le coup. Ils lui ont alors proposé de célébrer le premier anniversaire d'Amari à l'hôpital.
«On a dit, "il n'en est pas question!" C'est important et nous retournons à la maison. Ils se sont fortement opposé, mais je leur ai dit que c'est ainsi que ça se passerait et qu'ils pouvaient soit m'aider ou soit me laisser signer les formulaires pour ramener Athena à la maison», a raconté Ben.Le personnel médical a finalement collaboré et la jeune maman a pu passer la dernière journée de sa vie dans la joie avec les 300 invités afin de laisser de magnifiques photos à sa fille qui pourra constater toute sa vie à quel point sa maman l'aimait.
«J'espère que les photos de cette fête vont m'aider à expliquer Amari, comment était sa mère à mesure qu'elle grandira. Je veux qu'elle n'oublie jamais qui elle est et d'où elle vient», a fait savoir Ben Krueger.
Le cancer du sein d'Athena Krueger a été diagnostiqué alors qu'elle était enceinte d'Amari (qui signifie miracle de Dieu). Elle s'est battue pendant plus de 18 mois contre la maladie, dont quelques-uns pendant lesquels elle portait son enfant dans son ventre, et est morte dans les bras de son mari le 3 mai dernier.

Sunwing accumule les condamnations

Le policier de la SQ accusé

espionnait les utilisateurs des toilettes avec un stylo-caméra

Perquisitions liées à l'arrestation d'aspirants djihadistes

Joe Beef classé 81e meilleur restaurant au monde
Les vieux mafieux veulent reprendre le pouvoir

La famille Duggar au coeur d'un scandale

Un mur s'effondre sur un livreur de 63 ans

Un avocat offre des moutons à Obama contre la main de sa fille

Neuf mineurs coincés une demi-journée sous terre
Neuf mineurs sont restés coincés pendant une douzaine d'heures à un kilomètre sous terre à la mine d'or Westwood, située à Rouyn-Noranda.
L'incident est survenu à 3 h 28, tôt mardi matin et les mineurs ont pu être secourus seulement en fin d'après-midi.
«Notre priorité est d'informer les familles et de secourir les mineurs, a indiqué en après-midi la directrice des Ressources humaines, Isabelle Labrie. On est en communication avec eux et ils vont bien.»
Les mineurs ont été victimes d'un «coup de terrain» qui a provoqué la chute d'un mur de roche et bloqué l'accès sur deux niveaux. Selon le directeur général, Sylvain Lehoux, il s'agit d'un événement sismique.
Ce dernier a ajouté que l'entreprise allait continuer l'installation de sondes sismiques afin de prévenir ce type d'événement.
Une équipe d'ingénieurs est sur le terrain pour enquêter sur les circonstances de cet accident.
L'accès au site a été interdit aux médias qui ont été invités à quitter.
«On veut s'assurer que les gens vont bien, a indiqué Mme Labrie. Leur priorité sera de voir leur famille et le médecin lorsqu'ils seront de retour en surface.»

Son casque de vélo lui sauve la vie

Une jeune femme de Shawinigan doit la vie à son casque de vélo. Un accident survenu samedi dans le secteur Saint-Gérard-des-Laurentides à Shawinigan lui a fait réaliser que la vie ne tient bien souvent qu'à un fil.C'est le casque de Fédérique Tardif qui lui a sauvé la vie quand une voiture lui a roulé sur la tête.
Elle a cru que sa dernière heure avait sonné. «Quand j'ai atterri par terre, j'ai vraiment pensé mourir», raconte-t-elle.Ce n'est seulement qu'une fois à l'hôpital que le personnel médical lui a fait comprendre la chance qu'elle avait eue de n'avoir qu'une blessure à l'oreille.
«Tous les médecins, en voyant mon casque, étaient vraiment surpris. C'est là que j'ai vu l'importance de mon accident. Ma tête serait autant écrasée que mon casque en ce moment», ajoute-t-elle.
Pour les médecins, le casque est essentiel. «Le casque est généralement la seule protection qu'on a, explique le docteur Olivier Roy, urgentologue et cadre supérieur au CSSS de Trois-Rivières. C'est primordial d'avoir un casque et qu'il soit bien positionné. Souvent, les gens vont le porter un peu trop haut, à la démarcation des cheveux. Il faut vraiment qu'il soit vis-à-vis des sourcils.»

Trois enfants «s'envolent» dans une maison gonflable
Trois enfants qui s'amusaient dans un jeu gonflable sur une plage en Floride ont eu la peur de leur vie dimanche lorsqu'une tornade venant du large les a propulsés dans les airs sur une distance de plusieurs mètres.
C'est avec horreur que les personnes qui se trouvaient sur cette plage de Fort Lauderdale ont vu la maison gonflable s'envoler au-dessus des palmiers et traverser un terrain de stationnement avant de s'écraser sur une route, a rapporté NBC.Les trois enfants sont tombés sur le sable alors que la structure se trouvait à une hauteur de 6 m environ. Ils ont été transportés à l'hôpital où on a constaté qu'ils avaient subi des blessures et fractures qui ne mettent toutefois pas leur vie en danger.
«Je croyais que j'allais mourir, a dit Shadaja Bryant, âgée de 5 ans, à NBC, lundi. J'étais dans la maison gonflable, je me suis envolée et ensuite je suis tombée sur le sol.»

L'ours noir de Louisiane n'est plus en danger d'extinction

Pour la première fois, moins de 800 millions d'humains souffrent de la faim

Le Nebraska abolit la peine de mort

Des hauts dirigeants de la FIFA arrêtés

La chaleur continue de tuer en Inde: plus de 1100 morts

Les drones américains au banc des accusés?

Le mystère de la fillette qui n'avait jamais faim

Effrayée par les dentistes, elle fixe ses dents à la colle forte

Effrayée à l'idée d'aller chez le dentiste, une Anglaise a préféré recoller
ses dents avec de la colle forte.
Pendant des années, Angie Barlow s'est soignée avec de la Super Glue, car elle avait trop peur
de consulter un dentiste.
Cette mère de famille de 48 ans se bricolait de petits systèmes pour pouvoir recoller des dents chancelantes.
Cependant, cette technique particulière a eu de grosses répercussions sur l'os de sa mâchoire, l'usant par endroit à plus de 90%.
Mme Barlow, qui vit à Altrincham dans le Cheshire, a avoué au Daily Mirror qu'elle fuyait les cabinets dentaires depuis le décès de sa mère.
«J'ai peur d'aller chez le dentiste depuis la mort de ma mère d'un cancer de la gorge. Elle n'avait que 34 ans. C'est en examinant une de ses dents que les médecins avaient découvert qu'elle était malade», a-t-elle expliqué.
«L'angoisse liée à cette situation ne m'a jamais quittée. Tu te dis que tu dois y aller, tu tentes de contacter quelqu'un puis tu renonces.»

Un patient amnésique renvoyé seul chez lui
Amnésique après un accident de vélo, un jeune homme de Saint-Jean-sur-Richelieu a été renvoyé chez lui par l'hôpital sans qu'il se souvienne comment contacter ses proches.
Nassim Tabet a été victime d'un accident de vélo dans la nuit de lundi à mardi.
Il a alors été conduit à l'hôpital du Haut-Richelieu, en Montérégie, où les médecins ont constaté qu'il avait un choc important à la tête qui a provoqué une amnésie partielle.
Dans le rapport d'hôpital du jeune homme que TVA Nouvelles a pu consulter, il est indiqué que ce dernier a été confus durant toute son hospitalisation.
«Je ne comprenais pas vraiment ce qui s'était passé. J'avais de la difficulté à me rappeler les propos de l'infirmière», explique-t-il.
Malgré cette situation préoccupante, M. Tabet a reçu son congé dans des circonstances particulières.
«Quand j'ai eu mes papiers, l'infirmier m'a demandé si je voulais être transporté en chaise roulante. J'ai répondu que oui. Il m'a alors déposé à l'entrée de l'établissement, en me disant "les téléphones sont là, les taxis sont là. Vous vous débrouillez pour rentrer chez vous», détaille le jeune homme, toujours marqué par sa mésaventure.
Sa conjointe n'étant pas à la maison, il a contacté un taxi qui l'a ramené chez lui.
Sans clés, et à la porte, il a dû patienter des heures avant de pouvoir se mettre à l'abri.
«Je reproche à l'hôpital de l'avoir laissé sur le pas de la porte, dans la condition où il était, sans avoir pris les mesures nécessaires pour me rejoindre», fait savoir Marylène Corbeil, la conjointe de M. Tabet.
Du côté de l'hôpital, on explique que le protocole a été respecté à la lettre dans ce cas. Un porte-parole a expliqué qu'à partir du moment où le médecin traitant signe le congé de l'hôpital, il n'y a aucun problème à ce qu'un patient retourne chez lui dans de telles circonstances

Séisme de 7,8 au large du Japon

Décès mystérieux de 120 000 antilopes

Des commerçants protestent contre le stationnement


Compétition de «bébés sumo»
Une centaine de bambins s'affrontaient samedi sur un tapis de sumo au Japon, à coup de cris et de pleurs au cours d'une compétition annuelle de bébés sumo, tradition japonaise censée leur garantir une bonne santé.
C'est dans le temple de Sensoji à Tokyo dans le quartier historique Asakusa, que d'imposants lutteurs de sumo ont incité 120 bébés à hurler à pleins poumons sur commande, pour le plus grand bonheur de leurs parents et du public.
Ces cérémonies traditionnelles, vieilles de 400 ans, se déroulent dans des temples et autres lieux de culte dans l'ensemble du pays, mais le réglement varie selon les régions : parfois les bébés en compétition doivent montrer quel sera le premier à donner de la voix, et ailleurs au contraire le premier à hurler est le perdant.
Dans le cas de la rencontre d'Asakusa, où la compétition a lieu depuis 1991, deux bambins ont été conduits sur le ring, où de vrais lutteurs sumo les tenaient en les secouant doucement tandis qu'un arbitre criait : «Pleure ! Pleure!»

L'épreuve a été remportée par le bébé qui a hurlé le plus vite et le plus fort.
Chez certains enfants les hurlements ont éclaté sans beaucoup de sollicitation, mais pour d'autres, plus stoïques, il a fallu l'irruption sur le ring de juges affublés de masques de diable, provoquant l'hilarité du public.