Reprise du dernier message
Une famille endeuillée en photo
Le fantôme du père veille sur sa famille
Le fantôme du père veille sur sa famille
Juillet 2014. Un couple très amoureux s'apprêtait à vivre la plus
belle chose qui soit: avoir un enfant. La femme,
Sierra Sharry, était alors enceinte de 8 mois.
Puis la mort a frappé. Son conjoint, Lane Smith, est tombé et s'est gravement blessé
à la tête. Conduit d'urgence dans un hôpital d'Oklahoma City, il ne s'en est jamais remis.
«Le 13 juillet 2014 a été le pire jour de toute ma vie», s'était alors confiée son
épouse sur Facebook. «J'ai perdu mon meilleur ami. Le père de mon enfant à naître.»
Leur bébé Taos a finalement vu le jour quelques semaines après le drame.
Immortel
Quand il a eu 6 mois, à l'occasion d'une séance de photos, une idée a germé dans la
tête de la mère. Et si c'était possible de réunir leur famille, ne serait-ce que pour
le temps d'un cliché?
«On m'a demandé si c'était pensable que je fignole un montage pour créer une photo où on
pourrait voir le père décédé», a expliqué la photographe Kayli Rene sur les réseaux sociaux
Elle n'était pas certaine d'y arriver, jusqu'à ce qu'on lui montre LA photo la plus parfaite
pour ce projet original. Grâce à sa posture, c'est comme si le disparu jetait un regard
bienveillant juste au-dessus des épaules de sa conjointe, qui tient leur fils dans ses bras.
«Lane n'est pas physiquement avec nous, mais cette photo représente le fait qu'il veille
maintenant sur nous, et qu'il sera toujours présent, peu importe ce qui arrive»,
a réagi la jeune mère.
Le cliché en a ému plus d'un depuis qu'il a été publié sur la page Facebook du photographe.
Il s'est répandu sur les réseaux sociaux, partagé des dizaines de milliers de fois par les internautes.
Un homme disparu en mer retrouvé après 66 jours
Elle écrit sa propre rubrique nécrologique avant de mourir
Une jeune femme perd la vie à Rimouski
Carole Thomas maintient sa version
Un cadenas pour garder son vieux compteur
Coincée dans le corps d'une femme de 100 ans, elle meurt à 17 ans
Hayley Okines ne devait pas vivre plus de 13 ans. Or, la jeune Britannique a fait mentir les pronostics de son étrange maladie qui la fait vieillir huit fois plus vite et a rendu
l'âme hier, à 17 ans.
«Mon bébé est parti pour un meilleur monde. Elle a poussé son dernier soupir dans mes bras
à 21h39», a écrit sa mère, Kerry Okines, sur Twitter hier soir.
L'adolescente était connue du grand public après avoir été la vedette d'un documentaire
sur sa maladie rare, la progéria, qui cause un vieillissement prématuré du corps, en plus
d'avoir publié une autobiographie, Old before my time (Vielle avant mon heure),
rapporte le Daily Mail.
À sa naissance, la petite avait de beaux cheveux blonds et de jolis yeux bleus et
elle était la fierté de ses parents, malgré sa petite taille.
«Notre seule inquiétude était qu'elle ne semblait pas grandir. "Mais je ne fais
que 5 pieds 4 pouces, elle me ressemble, c'est tout", me disais-je», raconte sa mère.
Hayley n'a jamais grandi. À sa mort, elle portait des vêtements de la taille
d'une enfant de 5 ans.
«Il fallait que quelqu'un lui serve à boire parce qu'elle était trop petite pour
attraper un verre. Et lui acheter de beaux vêtements, c'était difficile.»
À 10 ans, Hayley avait déjà l'apparence d'une octogénaire, avec tous les problèmes
s'y rattachant (arthrite, dégénérescence de la vue, problèmes de cœur, etc.),
mais les envies et humeurs d'une fillette.
Son état a continué à se détériorer, même si elle a fait mentir les meilleurs spécialistes
de Grande-Bretagne qui lui prédisait une mort à 13 ans. L'été dernier,
Hayley a dû quitter l'école.
Souffrant de pneumonie, elle avait été hospitalisée dans les dernières semaines. Hier,
ses médecins lui ont permis de rentrer à la maison et c'est là qu'elle a poussé son dernier
souffle, dans les bras de sa mère.
Hayley Okines et ses parents ont mis sur pied une fondation pour venir en aide aux personnes
atteintes de la progéria. Ils ne seraient que 74 sur la planète.
Un conflit entre adolescents dégénère
Un père furieux que son fils apprenne sur l'islam à l'école
Un père de famille qui estime que son fils de 8 ans ne devrait pas être initié
aux concepts de base de l'islam à l'école a décidé de dénoncer de façon virulente la
situation dans les réseaux sociaux, ce à quoi la commission scolaire visée, située dans Lanaudière, a répliqué en lui envoyant une mise en demeure pour «propos haineux».
Tout a commencé lorsque le fils de Jacques Maurice est rentré de l'école avec, comme à l'habitude, des devoirs à faire. Mais ce soir-là, il devait compléter un exercice sur les principes
de base de l'islam en répondant à des questions comme: «Qui est le prophète Mahomet?».
Furieux de constater que l'établissement scolaire de son fils enseignait les grandes lignes de l'islam, M. Maurice s'est défoulé sur Facebook en écrivant, entre autres, que «l'islam est une religion de m**** (sic)».
Voilà ce qui a choqué la Commission scolaire des samares qui a fait parvenir au père
une mise en demeure afin qu'il retire les «propos haineux» de son compte Facebook,
sans quoi elle menaçait de le poursuivre.
L'homme s'est exécuté, mais a réfuté les accusations de la commission scolaire, disant qu'il n'entretenait pas de haine envers les musulmans. Seulement, il refuse que son fils soit en
contact avec d'autres religions que la religion catholique, estimant qu'il est trop
jeune pour être en contact avec d'autres cultures.
«Moi, c'est de me faire respecter et aussi [pour] les autres parents qui n'osent pas dire
tout haut ce que je vais dire. Aucune religion, mis à par le catholicisme,
ne sera enseignée à mes enfants, soutient le père. On va commencer par l'enseigner
comme il faut à mes enfants et après, quand ils seront dans une polyvalente,
ils auront l'ouverture d'esprit de décider par eux-mêmes: «OK, moi je veux apprendre
sur cette culture-là».»
La Commission scolaire des samares a réagi ce matin par courriel, en expliquant que le
cours d'éthique et culture religieuse est offert depuis 2009 et qu'il s'agit d'un
programme du ministère de l'Éducation dans lequel les enfants apprennent les concepts
des différentes religions, y compris ceux de la religion catholique.
Une fausse page Facebook pour dénoncer son présumé agresseur
Une pizza halal au jambon? Trouvez l'erreur!
Saviez que si vous commandez une pizza au jambon, ce n'est pas toujours ce que
vous obtiendrez. J.E. en a fait la démonstration.
Dans une pizzeria de l'arrondissement St-Léonard, nous avons commandé une pizza hawaïenne
garnie de jambon et d'ananas et une autre au bacon/pepperoni. Puis nous l'avons goûté en
compagnie du chef cuisinier Jonathan Garnier.
L'illusion fonctionne : « C'est rose comme du jambon, ça a un goût d'érable. » Il a fallu
insister au moment de payer dans le restaurant pour comprendre que nous étions dans un restaurant halal qui ne servait que de la viande répondant aux rites musulmans.
Ici, on ne sert pas de porc à la clientèle. « Il n'y pas de porc ici monsieur ».
On comprend alors que le bacon non plus ne vient pas du porc mais d'une autre viande.
Dans une deuxième pizzéria située dans Villeray nous avons demandé la « spéciale québécoise »
au jambon. Encore une fois la garniture pourrait duper tout le monde. Le chef Garnier déplore la situation : « J'ai une très bonne cliente qui est allergique à la protéine bovine. Elle en serait malade ». Confronté à la caméra, le restaurateur nous a montré la facture indiquant qu'il
avait bien acheté du jambon...de veau! Il n'y voyait aucun problème.
Il y a pourtant une loi fédérale qui normalise l'appellation des viandes.
Le jambon tout comme le bacon doit provenir de la carcasse du porc. Si ce n'est pas le cas,
c'est illégal!
C'est le ministère de l'Agriculture qui surveille les appellations au Québec sauf à Montréal
où la ville a son propre service d'inspection. Alexandre Noël du ministère de l'Agriculture précise qu'en cas de plainte «un inspecteur peut intervenir dans les commerces de vente au détail sur l'étiquetage ou l'affichage ou encore dans les établissements de restauration par rapport aux inscriptions sur les menus».
Des amendes aussi salées que le bacon pourraient donner mal au ventre aux contrevenants: de 500$ jusqu'à 9000 dollars pour les récidivistes.
Le chef cuisinier Jonathan Garnier demande un peu plus de transparence de la part
des restaurateurs: « c'est toujours une question d'information et de savoir ce qu'on mange ».
Une véritable limousine des airs
Le tout nouveau Bell 525 est un hélicoptère décidément haut de gamme,
une véritable «limousine des airs»
Sa cabine, peut accommoder 20 passagers, dans un salon au design ultramoderne.
L'hélicoptère, avec une vitesse de croisière de de 286 kmh, peut voler sur une
distance de 925 kilomètres sans s'arrêter, grâce à ses immenses réservoirs d'essence
Avec son autonomie impressionnante, il peut facilement rejoindre des plateformes pétrolières offshore, ou encore à participer à des opérations de recherches, en tout confort.
Son équipage composé de deux personnes a à sa disposition des contrôles à la fine pointe de la technologie, selon le Daily Mail.
À l'extérieur, l'appareil a un design très épuré que ne dédaignerait pas «Iron Man
Évidemment, tout cela a un prix. Le Bell 525 coûte la modique somme de 15 millions de dollars.
Il utilise sa Camaro pour arracher une dent à son fils
Un lutteur a donné une bonne leçon de courage à son fils afin de lui arracher une
dent sur le point de tomber.
Robert Abercrombie un résident de Floride, connu sous le nom de lutteur de Rob Venomous,
a attaché la dent de son garçon de 8 ans à sa Chevrolet Camaro.
a ensuite placée la vidéo en ligne, rapporte le New York Daily News. D'autres parents ont aussi
filmée leurs tactiques originales pour arracher une dent à leur enfant. Certain ont utilisé
des voitures électriques, d'autres allant jusqu'à tenter le coup avec un hélicoptère miniature.
a dent n'a pas résisté une seconde à la puissante voiture rouge.
Le garçon lui n'a pas hésité ni bougé d'un poil lors de la cascade.
Il semblait même très excité après les faits
Rappel de salade de poulet rôti chez Costco
L'Agence canadienne d'inspection des aliments procède au rappel de salade de poulet rôti
de marque Kirkland Signatures, en vente dans toutes les succursales
Costco Wholesale Canada Inc.
Le produit, qui contient de la poitrine de poulet tranchée et cuite, pourrait contenir
la bactérie Listeria monocytogenes. Les salades visées par le rappel portent
les dates «Meilleur avant 2015 AL 03» inclusivement.
Si vous avez acheté le produit, jetez-le immédiatement ou rapportez-le au magasin où il
a été acheté.L'Agence tient toutefois à mentionner qu'aucun cas de maladie associé
à la consommation de ces salades n'a été signalé.
Tuée sous les yeux de son fils pour avoir ri d'un étranger
La conductrice d'un véhicule dans lequel se trouvait son jeune garçon a été froidement
tuée parce qu'elle se serait moquée d'un autre conducteur, à Los Angeles, jeudi.
La femme de 44 ans, Denise Chiffon Berry, a été tuée devant son garçon de 12 ans alors
qu'elle venait de demander de l'aide à un officier de police, selon la chaîne KTLA.
L'homme armé s'est rapidement approché de sa voiture, et a tiré dans le véhicule de la dame,
la touchant elle et son garçon.
La femme est morte sur les lieux. Son petit garçon a pris la fuite, malgré ses sérieuses
blessures. Les enquêteurs ont pu lui parler avant même qu'il soit opéré.
Selon les autorités, les victimes se seraient moquées du tireur alors qu'ils circulaient
en voiture. Ils ne se connaitraient pas. «C'est ce que le petit garçon a dit»,
a indiqué le lieutenant Dave Coleman à des médias locaux.
La maman aurait dit: «Regarde, c'est drôle!», et il y aurait eu un échange de regard.
Elle a avancé et a commencé à être suivie», ont mentionné les autorités.
La fusillade a éclaté peu après que la mère de famille a garé son auto, demandant de
l'aide à un policier. L'officier lui a dit de se stationner en avant de la sienne,
et qu'il pourrait l'aider.
Quelques secondes après le tireur est arrivé avec deux armes de poing et a tiré sur la
voiture. Le policier lui a retourné les tirs et l'a atteint mortellement.
Deux autres hommes se trouvaient dans la voiture du suspect, le conducteur et un passager
à l'arrière.
Ils sont accusés de meurtre et conspiration dans le but de commettre un meurtre.
Leur caution a été fixée à 1 million de dollars chacun.
belle chose qui soit: avoir un enfant. La femme,
Sierra Sharry, était alors enceinte de 8 mois.
Puis la mort a frappé. Son conjoint, Lane Smith, est tombé et s'est gravement blessé
à la tête. Conduit d'urgence dans un hôpital d'Oklahoma City, il ne s'en est jamais remis.
«Le 13 juillet 2014 a été le pire jour de toute ma vie», s'était alors confiée son
épouse sur Facebook. «J'ai perdu mon meilleur ami. Le père de mon enfant à naître.»
Leur bébé Taos a finalement vu le jour quelques semaines après le drame.
Immortel
Quand il a eu 6 mois, à l'occasion d'une séance de photos, une idée a germé dans la
tête de la mère. Et si c'était possible de réunir leur famille, ne serait-ce que pour
le temps d'un cliché?
«On m'a demandé si c'était pensable que je fignole un montage pour créer une photo où on
pourrait voir le père décédé», a expliqué la photographe Kayli Rene sur les réseaux sociaux
Elle n'était pas certaine d'y arriver, jusqu'à ce qu'on lui montre LA photo la plus parfaite
pour ce projet original. Grâce à sa posture, c'est comme si le disparu jetait un regard
bienveillant juste au-dessus des épaules de sa conjointe, qui tient leur fils dans ses bras.
«Lane n'est pas physiquement avec nous, mais cette photo représente le fait qu'il veille
maintenant sur nous, et qu'il sera toujours présent, peu importe ce qui arrive»,
a réagi la jeune mère.
Le cliché en a ému plus d'un depuis qu'il a été publié sur la page Facebook du photographe.
Il s'est répandu sur les réseaux sociaux, partagé des dizaines de milliers de fois par les internautes.
Un homme disparu en mer retrouvé après 66 jours
Elle écrit sa propre rubrique nécrologique avant de mourir
Une jeune femme perd la vie à Rimouski
Carole Thomas maintient sa version
Un cadenas pour garder son vieux compteur
Coincée dans le corps d'une femme de 100 ans, elle meurt à 17 ans
Hayley Okines ne devait pas vivre plus de 13 ans. Or, la jeune Britannique a fait mentir les pronostics de son étrange maladie qui la fait vieillir huit fois plus vite et a rendu
l'âme hier, à 17 ans.
«Mon bébé est parti pour un meilleur monde. Elle a poussé son dernier soupir dans mes bras
à 21h39», a écrit sa mère, Kerry Okines, sur Twitter hier soir.
L'adolescente était connue du grand public après avoir été la vedette d'un documentaire
sur sa maladie rare, la progéria, qui cause un vieillissement prématuré du corps, en plus
d'avoir publié une autobiographie, Old before my time (Vielle avant mon heure),
rapporte le Daily Mail.
À sa naissance, la petite avait de beaux cheveux blonds et de jolis yeux bleus et
elle était la fierté de ses parents, malgré sa petite taille.
«Notre seule inquiétude était qu'elle ne semblait pas grandir. "Mais je ne fais
que 5 pieds 4 pouces, elle me ressemble, c'est tout", me disais-je», raconte sa mère.
Hayley n'a jamais grandi. À sa mort, elle portait des vêtements de la taille
d'une enfant de 5 ans.
«Il fallait que quelqu'un lui serve à boire parce qu'elle était trop petite pour
attraper un verre. Et lui acheter de beaux vêtements, c'était difficile.»
À 10 ans, Hayley avait déjà l'apparence d'une octogénaire, avec tous les problèmes
s'y rattachant (arthrite, dégénérescence de la vue, problèmes de cœur, etc.),
mais les envies et humeurs d'une fillette.
Son état a continué à se détériorer, même si elle a fait mentir les meilleurs spécialistes
de Grande-Bretagne qui lui prédisait une mort à 13 ans. L'été dernier,
Hayley a dû quitter l'école.
Souffrant de pneumonie, elle avait été hospitalisée dans les dernières semaines. Hier,
ses médecins lui ont permis de rentrer à la maison et c'est là qu'elle a poussé son dernier
souffle, dans les bras de sa mère.
Hayley Okines et ses parents ont mis sur pied une fondation pour venir en aide aux personnes
atteintes de la progéria. Ils ne seraient que 74 sur la planète.
Un conflit entre adolescents dégénère
Un père furieux que son fils apprenne sur l'islam à l'école
Un père de famille qui estime que son fils de 8 ans ne devrait pas être initié
aux concepts de base de l'islam à l'école a décidé de dénoncer de façon virulente la
situation dans les réseaux sociaux, ce à quoi la commission scolaire visée, située dans Lanaudière, a répliqué en lui envoyant une mise en demeure pour «propos haineux».
Tout a commencé lorsque le fils de Jacques Maurice est rentré de l'école avec, comme à l'habitude, des devoirs à faire. Mais ce soir-là, il devait compléter un exercice sur les principes
de base de l'islam en répondant à des questions comme: «Qui est le prophète Mahomet?».
Furieux de constater que l'établissement scolaire de son fils enseignait les grandes lignes de l'islam, M. Maurice s'est défoulé sur Facebook en écrivant, entre autres, que «l'islam est une religion de m**** (sic)».
Voilà ce qui a choqué la Commission scolaire des samares qui a fait parvenir au père
une mise en demeure afin qu'il retire les «propos haineux» de son compte Facebook,
sans quoi elle menaçait de le poursuivre.
L'homme s'est exécuté, mais a réfuté les accusations de la commission scolaire, disant qu'il n'entretenait pas de haine envers les musulmans. Seulement, il refuse que son fils soit en
contact avec d'autres religions que la religion catholique, estimant qu'il est trop
jeune pour être en contact avec d'autres cultures.
«Moi, c'est de me faire respecter et aussi [pour] les autres parents qui n'osent pas dire
tout haut ce que je vais dire. Aucune religion, mis à par le catholicisme,
ne sera enseignée à mes enfants, soutient le père. On va commencer par l'enseigner
comme il faut à mes enfants et après, quand ils seront dans une polyvalente,
ils auront l'ouverture d'esprit de décider par eux-mêmes: «OK, moi je veux apprendre
sur cette culture-là».»
La Commission scolaire des samares a réagi ce matin par courriel, en expliquant que le
cours d'éthique et culture religieuse est offert depuis 2009 et qu'il s'agit d'un
programme du ministère de l'Éducation dans lequel les enfants apprennent les concepts
des différentes religions, y compris ceux de la religion catholique.
Une fausse page Facebook pour dénoncer son présumé agresseur
Une pizza halal au jambon? Trouvez l'erreur!
Saviez que si vous commandez une pizza au jambon, ce n'est pas toujours ce que
vous obtiendrez. J.E. en a fait la démonstration.
Dans une pizzeria de l'arrondissement St-Léonard, nous avons commandé une pizza hawaïenne
garnie de jambon et d'ananas et une autre au bacon/pepperoni. Puis nous l'avons goûté en
compagnie du chef cuisinier Jonathan Garnier.
L'illusion fonctionne : « C'est rose comme du jambon, ça a un goût d'érable. » Il a fallu
insister au moment de payer dans le restaurant pour comprendre que nous étions dans un restaurant halal qui ne servait que de la viande répondant aux rites musulmans.
Ici, on ne sert pas de porc à la clientèle. « Il n'y pas de porc ici monsieur ».
On comprend alors que le bacon non plus ne vient pas du porc mais d'une autre viande.
Dans une deuxième pizzéria située dans Villeray nous avons demandé la « spéciale québécoise »
au jambon. Encore une fois la garniture pourrait duper tout le monde. Le chef Garnier déplore la situation : « J'ai une très bonne cliente qui est allergique à la protéine bovine. Elle en serait malade ». Confronté à la caméra, le restaurateur nous a montré la facture indiquant qu'il
avait bien acheté du jambon...de veau! Il n'y voyait aucun problème.
Il y a pourtant une loi fédérale qui normalise l'appellation des viandes.
Le jambon tout comme le bacon doit provenir de la carcasse du porc. Si ce n'est pas le cas,
c'est illégal!
C'est le ministère de l'Agriculture qui surveille les appellations au Québec sauf à Montréal
où la ville a son propre service d'inspection. Alexandre Noël du ministère de l'Agriculture précise qu'en cas de plainte «un inspecteur peut intervenir dans les commerces de vente au détail sur l'étiquetage ou l'affichage ou encore dans les établissements de restauration par rapport aux inscriptions sur les menus».
Des amendes aussi salées que le bacon pourraient donner mal au ventre aux contrevenants: de 500$ jusqu'à 9000 dollars pour les récidivistes.
Le chef cuisinier Jonathan Garnier demande un peu plus de transparence de la part
des restaurateurs: « c'est toujours une question d'information et de savoir ce qu'on mange ».
Une véritable limousine des airs
Le tout nouveau Bell 525 est un hélicoptère décidément haut de gamme,
une véritable «limousine des airs»
Sa cabine, peut accommoder 20 passagers, dans un salon au design ultramoderne.
L'hélicoptère, avec une vitesse de croisière de de 286 kmh, peut voler sur une
distance de 925 kilomètres sans s'arrêter, grâce à ses immenses réservoirs d'essence
Avec son autonomie impressionnante, il peut facilement rejoindre des plateformes pétrolières offshore, ou encore à participer à des opérations de recherches, en tout confort.
Son équipage composé de deux personnes a à sa disposition des contrôles à la fine pointe de la technologie, selon le Daily Mail.
À l'extérieur, l'appareil a un design très épuré que ne dédaignerait pas «Iron Man
Évidemment, tout cela a un prix. Le Bell 525 coûte la modique somme de 15 millions de dollars.
Il utilise sa Camaro pour arracher une dent à son fils
Un lutteur a donné une bonne leçon de courage à son fils afin de lui arracher une
dent sur le point de tomber.
Robert Abercrombie un résident de Floride, connu sous le nom de lutteur de Rob Venomous,
a attaché la dent de son garçon de 8 ans à sa Chevrolet Camaro.
a ensuite placée la vidéo en ligne, rapporte le New York Daily News. D'autres parents ont aussi
filmée leurs tactiques originales pour arracher une dent à leur enfant. Certain ont utilisé
des voitures électriques, d'autres allant jusqu'à tenter le coup avec un hélicoptère miniature.
a dent n'a pas résisté une seconde à la puissante voiture rouge.
Le garçon lui n'a pas hésité ni bougé d'un poil lors de la cascade.
Il semblait même très excité après les faits
Rappel de salade de poulet rôti chez Costco
L'Agence canadienne d'inspection des aliments procède au rappel de salade de poulet rôti
de marque Kirkland Signatures, en vente dans toutes les succursales
Costco Wholesale Canada Inc.
Le produit, qui contient de la poitrine de poulet tranchée et cuite, pourrait contenir
la bactérie Listeria monocytogenes. Les salades visées par le rappel portent
les dates «Meilleur avant 2015 AL 03» inclusivement.
Si vous avez acheté le produit, jetez-le immédiatement ou rapportez-le au magasin où il
a été acheté.L'Agence tient toutefois à mentionner qu'aucun cas de maladie associé
à la consommation de ces salades n'a été signalé.
Tuée sous les yeux de son fils pour avoir ri d'un étranger
La conductrice d'un véhicule dans lequel se trouvait son jeune garçon a été froidement
tuée parce qu'elle se serait moquée d'un autre conducteur, à Los Angeles, jeudi.
La femme de 44 ans, Denise Chiffon Berry, a été tuée devant son garçon de 12 ans alors
qu'elle venait de demander de l'aide à un officier de police, selon la chaîne KTLA.
L'homme armé s'est rapidement approché de sa voiture, et a tiré dans le véhicule de la dame,
la touchant elle et son garçon.
La femme est morte sur les lieux. Son petit garçon a pris la fuite, malgré ses sérieuses
blessures. Les enquêteurs ont pu lui parler avant même qu'il soit opéré.
Selon les autorités, les victimes se seraient moquées du tireur alors qu'ils circulaient
en voiture. Ils ne se connaitraient pas. «C'est ce que le petit garçon a dit»,
a indiqué le lieutenant Dave Coleman à des médias locaux.
La maman aurait dit: «Regarde, c'est drôle!», et il y aurait eu un échange de regard.
Elle a avancé et a commencé à être suivie», ont mentionné les autorités.
La fusillade a éclaté peu après que la mère de famille a garé son auto, demandant de
l'aide à un policier. L'officier lui a dit de se stationner en avant de la sienne,
et qu'il pourrait l'aider.
Quelques secondes après le tireur est arrivé avec deux armes de poing et a tiré sur la
voiture. Le policier lui a retourné les tirs et l'a atteint mortellement.
Deux autres hommes se trouvaient dans la voiture du suspect, le conducteur et un passager
à l'arrière.
Ils sont accusés de meurtre et conspiration dans le but de commettre un meurtre.
Leur caution a été fixée à 1 million de dollars chacun.