Reprise du dernier message
Bonsoir très chère Douce.
Malgré mon épuisement de 6 heures de ménage non stop à la maison uniquement pour le rez de chaussée ( car avec les petits enfants la poussière et la saleté sont secondaire) alors n'ayant pas beaucoup de temps libre pour faire cela en grand dans les coins et recoins du sol au plafond, aujourd'hui fut le jour J, demain si je ne suis pas complétement courbaturée ,je ferais le haut mais cela sera plus rapide il n' y a que deux chambres de 18 m2 et un wc donc je viens vous faire deux petits mots avant que mes yeux ne commencent a clignoter.
Douce ,je suis flattée que vous n'ayez mise dans le coin du petit bonheur. Merci.
Je ne sais plus où j'ai lu que vous vouliez le poème que j'ai fait avec uniquement les titres des chansons de ce grand chanteur Charles Aznavour,je vous le joint ici en plus grand afin que vous puisiez le lire et ensuite je vais essayer de dormir sans trop de triste pensées .
Au plaisir très chère Douce,je vous embrasse en regardant notre étoile.
_________________________________________________________________________________________
Je ne ferais pas mes adieux.
Je ne ferais pas mes adieux, je n'ai pas vu le temps passé,
je ne veux pas rentrer chez moi, non je n'ai rien oublié.
On a toujours le temps et pourtant désormais,
sur le chemin du retour, le chemin de l'éternité.
Je fais comme ci, mais c'était hier, tout s'en va...
Hier encore, a tout jamais, je m'voyais déjÃ
, parce-que, j'ai vécu un million de fois.
L’indifférence, le temps, mes emmerdes, toi et moi;
les jours heureux, les bons moments, l'amour, la bohème.
L’instant présent, la nuit, ma vie ô ma vie, je t'aime.
On n'a plus quinze ans, je n'oublierai jamais, les vertes années,
le palais des chimères, Paris au mois d'aout, les plaisirs démodés.
C’est merveilleux l'amour, les petits matins, le temps des caresses.
Vivre avec toi, sur ma vie, au rythme de mon cœur. Dolorès,
je te regarde, ne dis rien, toi, je t'aime comme ça, reste,
je te réchaufferais, au creux de mon épaule, au nom de la jeunesse,
dis moi! Si je n'avais plus l'âge d'aimer mon émouvant amour, va-t’en.
Le jour se lève, plus bleu que le bleu de tes yeux, je t'aimais tant,
Heureux avec des riens, nous n'avons pas d'enfant, je ne comprends pas.
Ma main a besoin de ta main, tout s'en va.
Emmenez moi, quelque part dans la nuit,
L’amour a fait de moi l'émigrant gosse de Paris.
Non je n'ai rien oublié, de déraison en déraison,
Pour essayer de faire une chanson,
Pour faire une Jams , j’ai appris alors ce sacré piano.
Les images de la vie, tous les visages de l’amour,
Un par un, l’amour est sous nos pas.
J’ai vu Paris , je rentre chez.
les images de la vie, tous les visages de l'amour, un par un ,l'amour est sous nos pas. J’ai vu Paris, je rentre chez moi.
Nicole Clément keusser
Malgré mon épuisement de 6 heures de ménage non stop à la maison uniquement pour le rez de chaussée ( car avec les petits enfants la poussière et la saleté sont secondaire) alors n'ayant pas beaucoup de temps libre pour faire cela en grand dans les coins et recoins du sol au plafond, aujourd'hui fut le jour J, demain si je ne suis pas complétement courbaturée ,je ferais le haut mais cela sera plus rapide il n' y a que deux chambres de 18 m2 et un wc donc je viens vous faire deux petits mots avant que mes yeux ne commencent a clignoter.
Douce ,je suis flattée que vous n'ayez mise dans le coin du petit bonheur. Merci.
Je ne sais plus où j'ai lu que vous vouliez le poème que j'ai fait avec uniquement les titres des chansons de ce grand chanteur Charles Aznavour,je vous le joint ici en plus grand afin que vous puisiez le lire et ensuite je vais essayer de dormir sans trop de triste pensées .
Au plaisir très chère Douce,je vous embrasse en regardant notre étoile.
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Je ne ferais pas mes adieux.
Je ne ferais pas mes adieux, je n'ai pas vu le temps passé,
je ne veux pas rentrer chez moi, non je n'ai rien oublié.
On a toujours le temps et pourtant désormais,
sur le chemin du retour, le chemin de l'éternité.
Je fais comme ci, mais c'était hier, tout s'en va...
Hier encore, a tout jamais, je m'voyais déjÃ
, parce-que, j'ai vécu un million de fois.
L’indifférence, le temps, mes emmerdes, toi et moi;
les jours heureux, les bons moments, l'amour, la bohème.
L’instant présent, la nuit, ma vie ô ma vie, je t'aime.
On n'a plus quinze ans, je n'oublierai jamais, les vertes années,
le palais des chimères, Paris au mois d'aout, les plaisirs démodés.
C’est merveilleux l'amour, les petits matins, le temps des caresses.
Vivre avec toi, sur ma vie, au rythme de mon cœur. Dolorès,
je te regarde, ne dis rien, toi, je t'aime comme ça, reste,
je te réchaufferais, au creux de mon épaule, au nom de la jeunesse,
dis moi! Si je n'avais plus l'âge d'aimer mon émouvant amour, va-t’en.
Le jour se lève, plus bleu que le bleu de tes yeux, je t'aimais tant,
Heureux avec des riens, nous n'avons pas d'enfant, je ne comprends pas.
Ma main a besoin de ta main, tout s'en va.
Emmenez moi, quelque part dans la nuit,
L’amour a fait de moi l'émigrant gosse de Paris.
Non je n'ai rien oublié, de déraison en déraison,
Pour essayer de faire une chanson,
Pour faire une Jams , j’ai appris alors ce sacré piano.
Les images de la vie, tous les visages de l’amour,
Un par un, l’amour est sous nos pas.
J’ai vu Paris , je rentre chez.
les images de la vie, tous les visages de l'amour, un par un ,l'amour est sous nos pas. J’ai vu Paris, je rentre chez moi.
Nicole Clément keusser
Nostalgie